JUGES : KEMOCH, DIEU DES AMORRHéENS. HOLOCAUSTE HUMAIN D'UNE VIERGE. MAIN DROITE COUPéE OFFERT AUX DIEUX! HARUSPICE D'HUMAINS!

JUGES : 11 : 21 LE DIEU KEMOCH DES AMORRHéENS. JEPHTE.

Et Yahweh, le Dieu d'Israël, livra Sihon et tout son peuple à Israël, qui les battit; et Israël occupa tout le territoire DES AMORRHéENS, depuis l'Arnon jusqu'au Iabboq, et depuis le désert jusqu'au Jourdain.

23 Maintenant que Yahweh, le Dieu d'Israël, a dépossédé LES AMORRHéENS en faveur de son peuple d'Israël, toi, tu déposséderais celui-ci !

24 Ce dont TON DIEU KEMOCH T'A MIS EN POSSESSION, ne le possèdes-tu pas?

Et tout ce que Yahweh, notre Dieu, a mis en notre possession, nous le possédons!

VOEU ET VICTOIRE DE JEPHTE.

11 : 29 Or l'Esprit de Yahweh fut sur JEPHTE. Il traversa Guilead et Manassé, et il traversa Mispa de Guilead il passa au-delà des fils d'Ammon.

30 Jephté VOUA UN VOEU à Yahweh en disant : 31 "Si tu me livres entièrement les fils d'Ammon, CELUI QUI SORTIRA DES PORTES DE MA MAISON à ma rencontre, quand je reviendrai en paix, triomphant des fils d'Ammon, SERA à YAHWEH, ET JE L'OFFRIRAI EN HOLOCAUSTE".

32 Jephté, tournant les fils d'Ammon, les combattit, et Yahweh les lui livra. 33 Il les soumit depuis Aroër jusque vers Minnit, soit vingt villes, et jusqu'à Abel-Keramin : défaite considérable. Et les fils d'Ammon furent abaissés par les enfants d'Israël.

34 Puis Jephté vint à sa maison à Mispa; et voici que sa fille sortit à sa rencontre avec des tambourins et des danses : or c'était son unique, hors d'elle, il n'avait ni fils ni fille.

35 Dès qu'il la vit, IL DéCHIRA SES VÊTEMENTS et dit : Ah! ma fille, comme tu m'accables ! et tu es de ceux qui m'affligent.

Pour moi, J'AI OUVERT MA BOUCHE à YAHWEH, ET JE NE PUIS ME RéTRACTER".

36 Elle lui dit : "Mon père, tu as ouvert ta bouche à Yahweh; FAIS-MOI SELON CE QUI EST SORTI DE TA BOUCHE, PUISQUE YAHWEH t'a accordé la vengeance sur tes ennemis, les fils d'Ammon".

37 Et elle dit à son père : "Qu'on m'accorde ceci : laisse-moi libre pendant deux mois, que je puisse aller et venir sur les montagnes, et pleurer MA VIRGINITé avec mes compagnes".

38 Il répondit : "Va"! et il la laissa aller pour deux mois. Elle s'en alla, elle et ses compagnes, et ELLE PLEURA SA VIRGINITé sur les montagnes.

39 Les deux mois écoulés, elle revint vers on père, ET IL ACCOMPLIT SUR ELLE, LE VOEU qu'il avait voué ; quant à elle, elle n'avait pas connu d'homme.

40 Et ce fut une INSTITUTION en ISRAËL : chaque année les filles d'Israël vont se lamenter sur la fille de Jepthé, le Guileadite, quatre jours par an.

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KEMOCH - BAALS - ASTARTES : SACRIFICES HUMAINS.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Kemoch

 

Kemoch, parfois appelé Kamosh ou Chamôs, est le dieu des Amorites[réf. nécessaire] puis des MoabitesIl est nommé Milkom chez lesAmmonites[réf. nécessaire].

 

Son nom apparaît, semble-t-il, pour la première fois à Ougarit où il est écrit K-M-T. A Ebla, il est appelé Kamish. Kemoch figure dans la Stèle de Mesha comme la principale divinité de Moab. Les Moabites l'honorent jusqu'à la période perse. Sous l'influence de la culture grecque, il est ensuite assimilé au dieu grec de la guerre Arès.

 

Comme beaucoup d'autres dieux, Kemoch est honoré de sacrifices humains[réf. nécessaire]. Selon la Bible1, le roi moabite Mesha lui aurait offert son fils en holocauste lorsque sa ville, Qir-Hareset, fut assiégée par les armées alliées du roi d'IsraëlJoram, et du roi de JudaJosaphat.

 

Durant leur période d'hénothéisme, les Hébreux admirent plusieurs dieux, dont Kemoch, qu'ils subordonnèrent progressivement àYHWH[réf. nécessaire]. Kemoch est par la suite qualifié par les auteurs de la Bible hébraïque d'« abomination de Moab » ou d'« Ordure de Moab ». Influencé par ses femmes étrangères, dont certaines sont moabites ou ammonites, le roi Salomon consacre à Kemoch un haut lieu de cultes aux portes de Jérusalem. Plus tard, le pieux roi Josias met un terme à son culte, à l'occasion de la dernière grande réforme religieuse avant l'Exil à Babylone. Le temple de Kemoch est alors « souillé », c'est-à-dire inapte à tout usage religieux.

 http://fr.wikipedia.org/wiki/Baal

Stèle de Baal au foudreXVe-XIIIesiècle, trouvée à Ras Shamra (Ougarit),musée du Louvre

Baal ou Ba'al (hébreu : בָּעַל, Báʿal, qui signifie seigneur) — Bēl en akkadien et בעלת Baʿalat (phénicien) ouבַּעֲלָה (Baʿalāh, en hébreu) au féminin — est un dieu sémitique, cananéen puis phénicien qui, sous les dynasties des Ramsès, est assimilé dans la mythologie égyptienne à Seth et à Montou.

Son nom - le maître ou l'époux – se retrouve partout dans le Moyen-Orient, depuis les zones peuplées par les sémites jusqu'aux colonies phéniciennes, dont Carthage. Il est invariablement accompagné d'une divinité féminine (AstartéIshtarTanit), même s'il est lui-même hermaphrodite, tout comme Ishtar.

 

On le décrit comme le culte du veau d'or dans le livre d'Osée3. Dans la Bible, il n'a aucune identité précise, mais rassemble toutes les divinités qui pourraient détourner le peuple de Dieu du droit chemin. C'est pourquoi dans le Livre des Juges, chaque histoire commence par : « Le peuple de Dieu se détourna du Seigneur et adora les Baals et les Astartés. » De la même façon, « Astartés » rassemble les divinités se référant à Ishtar, la déesse de Babylone. Paradoxalement, certains passages bibliques attribuent à Dieu des spécificités « baaliques » : à l'instar de Baal, Dieu habite sur une montagne, il amène la pluie, la fertilité et les récoltes ou est qualifié de « chevaucheur des nuées1 ».

 

À ce culte est associé la prêtrise, et des sanctuaires sur chaque colline, appelés hauts lieux. À l'intérieur se trouvaient des icônes et statues de Baal, et à l'extérieur des colonnes de pierre (probablement les symboles phalliques de Baal), des poteaux sacrés qui représentaient Ishtar, et des autels à encens. Ce culte était associé aussi dans l'esprit à certains corps célestes (soleil, étoiles)4.

 

Selon la Bible, des prostitués, mâles et femelles, servaient sexuellement sur les hauts lieux et certains passages bibliques rapportent parmi les rituels chaldéens des sacrifices d'enfants pour obtenir les faveurs de la divinité5, dans le livre de Jérémie (19:5 ) : « Ils ont bâti des hauts lieux à Baal, Pour brûler leurs enfants au feu en holocaustes à Baal : Ce que je n'avais ni ordonné ni prescrit, Ce qui ne m'était point venu à la pensée »

 

Empire gréco-romain

 

Baal comptait un temple important à Émèse (actuelle Homs) en Syrie, dont la grand-prêtrise appartenait à la famille des Bassianides. En 218, son grand-prêtre devint empereur de Rome sous le nom d'Héliogabale, grâce à une parenté avec les Sévères par les femmes. Héliogabale imposa pour un temps son culte aux Romains. Ceux-ci le détrônent à cause de ses excès, notamment religieux.

ASTARTE :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Astart%C3%A9

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Astarté est une divinité sidérale constamment associé à Baal. Penê-Baal (face de Baal), Selem-Baal (Salambô, « image de Baal ») sont des épithètes qui lui sont souvent données, et ces épithètes deviennent à leur tour de véritables noms propres.

Élément féminin du couple suprême qu'elle forme avec Baal, celle-ci assume des fonctions variées : protectrice du souverain et de sa dynastie, elle protège également les marins, mais son culte est, comme pour la plupart des divinités féminines primordiales de l'antiquité (et de la proto-histoire), lié à la fertilité et à la fécondité.

Étant à la fois Vénus et la Lune, elle est considérée tour à tour comme une déesse vierge et une déesse mère. De là, dans son culte, des cérémonies et des actes symboliques qui se transformaient aisément en scènes de débauche, aboutissant à des excès sanguinaires et cruels. Comme Baal, Astarté est souvent honorée, du moins jusqu'au début du premier millénaire avant notre ère4, par des sacrifices humains, surtout par des holocaustes « sacrifices » d'enfants. On retrouve dans le culte d'Aphrodite les principaux traits de celui d'Astarté. Il est même probable que le nom d'Aphrodite (« Astoret », « Aphtoret », « Aphrodite ») et celui d'Amphitrite (Amphtoret) ne sont que des altérations du nom d'Astarté.

 http://fr.wikipedia.org/wiki/Sacrifice_humain

Le sacrifice humain a fait partie des rites pratiqués lors de la fondation de villes dans diverses civilisations5; on le retrouve dans le mythe fondateur de Rémus et Romulus.

Religions polythéistes

Antiquité

Dans l'Égypte antique, à Héliopolis, selon le prêtre égyptien Manéthon de Sebennytos, tous les jours trois hommes étaient sacrifiés à une déesse7. Un pharaon ordonna ensuite que les hommes soient remplacés par des cierges8.

Dans les mythes et les rites de la Grèce antique, on trouve de nombreuses références au sacrifice humain. Par exemple, Aristomène, roi deMessénie, aurait offert à Zeus le sacrifice de 300 hommes, dont le roi de Sparte1

Les Étrusques pratiquaient le sacrifice humain1011.

Les nobles carthaginois auraient fait sacrifier leurs 200 fils au dieu Baal lorsque les Romains s'apprêtaient à s'emparer de leur ville12.

Dans la Rome antiqueAuguste aurait fait sacrifier 300 hommes sur l'autel de Jules César13.

L'usage des sacrifices humains chez les Gaulois est attesté par le géographe grec Strabon : « Ils ne sacrifiaient jamais sans qu'un druide fût présent. On cite aussi plusieurs formes de sacrifices humains chez eux : par exemple, on tuait certaines victimes à coups de flèches, ou on les crucifiait dans les temples, ou encore on confectionnait une effigie géante de paille et de bois, et après avoir jeté dedans des bestiaux et des animaux sauvages de tout genre et des hommes, ils en faisaient un holocauste. »14. Après la conquête romaine de la Gaule, les premiers empereurs romains firent interdire les sacrifices humains15.

Toujours selon Strabon, les Lusitaniens « font de fréquents sacrifices aux dieux et examinent les entrailles, sans les arracher du corps de la victime, ils observent aussi les veines de la poitrine… Ils consultent même dans certains cas les entrailles humaines, se servant à cet effet de leurs prisonniers de guerre, qu'ils revêtent au préalable de saies pour le sacrifice et, quand la victime tombe éventrée de la main de l'haruspice, ils tirent un premier avertissement de la chute même du corps. Souvent aussi ils coupent la main droite à leurs captifs et en font offrande aux dieux. »16.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Haruspice

Histoire

Dans l’Antiquité, l’haruspice interprétait la volonté divine en lisant dans les entrailles d’un animal sacrifié. L’animal était rituellement abattu ; l’haruspice pouvait alors examiner la taille, la forme, la couleur, les signes particuliers de certains organes, généralement le foie, dont on a retrouvé des maquettes de bronze à usage didactique de ce type de divination, tel le foie de Plaisance en Étrurie, mais il existe aussi un exemplaire hittite provenant de Boghazkoi, et une version babylonienne. L'organe divisé en quatre parties correspondant aux quatre points cardinaux, chacune d'entre elle représentait la demeure de certaines divinités, invoquées, auxquels l'officiant demandait l'intercession dans les affaires humaines. L'animal abattu, la viande était rôtie et divisée entre les participants à la cérémonie au cours d'un banquet, les organes internes (exta, le siège de la vie de l'animal) cuits étaient jetés dans le feu du foyer en offrande aux dieux1.

Il semble qu'il n'y ait jamais eu de femmes dans le collège des haruspices, ni à avoir jamais exercé cette fonction. Il y avait par contre des stryges, c’est-à-dire des sorcières ; celles-ci, comme en témoignent les Métamorphoses d'Apulée, étaient particulièrement nombreuses, et réputées, en Thessalie. Certaines magiciennes, telles Circé ou Médée, ou la Pythie de Delphes sont restées célèbres. L'un des devins les plus connus de l'Antiquité était CalchasTirésias, cité par Homère, en fut un également.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Holocauste

Un holocauste est le sacrifice par le feu d’un animal après immolation. Pratiqué par les Grecs dans le cadre des rituels chthoniens, il l'est aussi dans la tradition israélite. Utilisé dès le xixe siècle dans les langues française et anglaise pour désigner le meurtre à grande échelle d’un groupe social ou ethnique1, il devient l'un des termes employés après la Seconde Guerre mondiale pour tenter de caractériser le massacre systématique et ciblé des Juifs par l’Allemagne nazie celui de shoah n’étant pas encore accepté.

En 1894Bernard Lazare utilise le terme « holocauste » pour parler des Juifs brûlés vifs pendant la Peste noire, au Moyen Âge : « Quand la peste noire ou la faim sévissait, on offrait les Juifs en holocauste à la divinité irritée2. »

http://fr.wikipedia.org/wiki/Religion_grecque_(culte)

Dans les formes cultuelles adoptées par la religion grecque antique, les principaux rites sont les prières, les offrandes, les sacrifices, les fêtes publiques et les jeux1. Ces rites ne s'excluent pas, au contraire : une offrande s'accompagne d'une prière, un sacrifice également pour couronner une fête publique.

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Procession en vue du sacrifice d'un agneau aux Charites, peinture sur bois, Corinthie, vers 540-530 av. J.-C.Musée national archéologique d'Athènes

http://www.aime-free.com/article-le-bateau-en-bois-le-plus-ancien-du-monde-en-egypte-ancienne-108642466.html

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 SUITE

 

 

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