HéROS ANTéDILUVIENS. A ELIS EN OLYMPE: SANCTUAIRE ET AUTEL DE DIAS OLYMPIEN-JUPITER OLYMPIEN! SA STATUE : UNE DES 7 MERVEILLES DU MONDE
GENESE 6: 1
Quand les hommes eurent commencé à se multiplier sur la face du sol, et qu'il leur fut né des filles, 2 les fils de Ilohim virent que les filles des hommes étaient belles, et ils prirent pour femmes toutes celles qui leur plurent.
3 Et Yahweh dit : "Mon esprit ne demeurera pas toujours dans l'homme, puisqu'il n'est que chair; mais que ses jours soient de cent vingt ans".
4 Il y eut des géants sur la terre en temps-là, et aussi depuis lors, quand les fils de Ilohim s'approchant des filles des hommes en ont eu des enfants : ce sont les héros fameux du temps jadis.
(Bas de page : 6.1 L'expression fils de Ilohim désigne habituellement, dans l'A.T. des êtres supra-terrestres vivant dans l'entourage de Ilohim.
4. Ces géants, nephilim.)
http://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9ogonie_(H%C3%A9siode)
La Théogonie (en grec ancien Θεογονία / Theogonía) est une œuvre du poète grec Hésiode(viiie siècle av. J.-C.), écrite en hexamètres dactyliques. Elle joue un rôle fondateur dans l’élaboration de la mythologie grecque. Le terme « théogonie » vient du nom Θεός / theós qui signifie « dieu » et du verbe γεννάω / gennáô qui signifie « engendrer ». Il s'agit donc d'un récit de l'origine des dieux.
« Grand récit de la succession des générations divines »
le poème conte la naissance de « la race sacrée des Immortels toujours vivants » (v. 105). Il s’ouvre par une longue invocation aux Muses :
« Mουσάων Ἑλικωνιάδων ἀρχώμεθ’ ἀείδειν, αἵ θ’ Ἑλικῶνος ἔχουσιν ὄρος μέγα τε ζάθεόν τε » |
« Pour commencer, chantons les Muses Héliconiennes, reines de l’Hélicon, la grande et divine montagne. » |
Hésiode narre d’abord les circonstances de sa vocation : les Muses l’ont visité alors qu’il faisait paître ses troupeaux sur les pentes du mont Hélicon.
Elles lui ont remis un rameau de laurier, et lui ont ordonné de chanter l’histoire des dieux immortels.
La seule condition qu’elles imposent à ce don de voyance poétique est de les célébrer au début et à la fin de chacun de ses chants, ce qu’il fait aussitôt par un hymne qui peut se diviser en quatre parties :
1. Les Muses ont pour fonction de réjouir le cœur de Zeus.
2. Naissance et apparition des Muses sur l’Olympe.
3. Les Muses sont les inspiratrices des rois et des poètes. Invocation aux Muses.
Hésiode évoque ensuite l’émergence du règne de Zeus.
Au commencement est le Chaos, état d’indistinction universel, suivi par Gaïa (la Terre),Érèbe (les Ténèbres) et Éros (le Désir, principe du commencement et de l’origine).
De ces divinités premières naissent les éléments naturels (laNuit, le Jour, etc.) et de nombreuses divinités allégoriques (le Sommeil, la Mort, etc.).
Parallèlement, des théomachies (batailles entre dieux) voient Zeus prendre le pouvoir sur les Immortels, et chasser les forces anciennes créatrices de désordre (les Titans et les Géants).
Zeus concilie en lui la force (« il a en main le tonnerre et la foudre flamboyante », v. 706-707) et l’intelligence (il a avalé Métis, déesse de l’intelligence rusée).
Son règne s’appuie sur la justice, comme le symbolisent ses noces avec Thémis, déesse de la Justice et de la Loi, avec qui il engendre les trois heures : l'Ordre (Eunomia), la Justice (Dikè) et la Paix (Eirenè).
http://fr.wikipedia.org/wiki/Mont_H%C3%A9licon
Le mont Hélicon (en grec ancien Ἑλικών, littéralement « la montagne tortueuse », deἕλιξ / hélix, « spirale, zigzag ») est un massif montagneux de Béotie, en Grèce, culminant à 1 748 mètres.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Olympe
Le mont Olympe (en grec ancien Ὄλυμπος / Ólympos, en grec moderne Όλυμπος / Ólimbos) est la plus haute montagne de Grèce, avec un sommet à 2 917 mètres. Elle fait partie de la chaîne du même nom. L'Olympe est traditionnellement le domaine des dieux de la mythologie grecque
Mythologie
Puisque son sommet reste caché aux mortels par les nuages, l'Olympe est aussi un lieu de villégiature sur lequel les dieux grecs avaient élu domicile pour passer leur temps à festoyer (leur boisson favorite est le célèbre nectar et ils consomment l'ambroisie qui les rend immortels) et à contempler le monde.
Homère décrit ce lieu comme un endroit idéal et paisible, isolé des intempéries telles que la pluie, la neige ou le vent, où les dieux pouvaient vivre dans un parfait bonheur. Ceux-ci y avaient élu domicile après avoir évincé les Titans, Ophion et Typhon.
Aux Olympiens de première génération, Zeus, Poséidon, Hadès, Déméter, Hestia et Héra, s'ajoutèrent six autres dieux de la génération suivante qui descendent de Zeus, surtout par des unions extraconjugales. Quoique la tradition compte les Olympiens au nombre de douze, quatorze dieux ont, d'une version à l'autre, fait partie de ce groupe, sous le contrôle de Zeus. On explique par exemple ces variations du fait que Hadès ne pouvait demeurer sur l'Olympe puisqu'il régnait sur le monde souterrain des Enfers.Héphaïstos, Dionysos, Poséidon et quelquefois Hermès s'absentaient tour à tour de la liste.
Ne pas confondre avec le sanctuaire d'Olympie, situé dans le Péloponnèse.
Olympie (en grec ancien : Ὀλυμπία ; grec moderne : Ολυμπία / Olympía) est un centre religieux de la Grèce, dans le Péloponnèse, plus précisément dans une petite plaine de l’Élide, sur la rive droite de l’Alphée et au pied du Mont Cronion, à proximité de la petite cité moderne d'Olympie, à environ 18 km de la ville de Pyrgos et de la mer Ionienne.
À l’emplacement du site était l’Altis, un bois sacré, et l'Autel de Zeus. Le stade lui-même était au milieu d'un bois d'oliviers sauvages.
Le site d'Olympie a accueilli les Jeux olympiques durant l'Antiquité, et aujourd'hui encore la flamme olympique y est allumée quelques mois avant la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques modernes.
Toutes les découvertes archéologiques sont regroupées au musée archéologique d'Olympie.
http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89lide
À l'époque antique, la capitale de l'Élide était Élis. Le sanctuaire sacré d'Olympie, près de la ville de Pyrgos, se trouvait sur son territoire.
http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89lis
Élis (grec ancien : Ήλις / Ễlis, en dorien Άλις / Ãlis, en Grec moderne : Ήλιδα/ Ilida) était une cité grecque située au nord-ouest du Péloponnèse, à l'ouest de l'Arcadie.
Elle était la capitale de l'Élide. La ville d'Olympie dépendant de son territoire, Élis avait la charge d'organiser les Jeux olympiques antiques.
Membre de la confédération péloponnésienne, elle participa à la Guerre du Péloponnèse, comme alliée de Sparte. Puis, les Éléens firent alliance avec Athènes en 420 ; il en résulta une lutte âpre contre Sparte. Finalement le roi Agis II envahit l'Élide et soumit la ville d'Élis en 399-397 av. J.-C. Puis il ravagea et brûla la région, et tout particulièrement la ville d'Olympie. Enfin il laissa une garnison aux ordres de l'harmoste Lysippe qui finit de ravager le pays1.
Elle fut le siège d'une école de philosophie, fondée par Pyrrhon d'Élis et connue sous le nom de secte élienne. Elle est décrite par Pausanias aux chapitres 23 à 26 du livre VI de sa Description de la ELLAS (GRECE).
Mythologie
Élis est le fils d'Eurycidé ou (Eurypylé), elle-même fille d'Endymion et de Poséidon. Il succéda à Endymion, son grand-père, sur le trône d'Élide et fonda la ville d'Élis
Personnages célèbres
- Coroebos d'Élis, premier vainqueur d'une épreuve olympique ;
- Pyrrhon d'Élis, philosophe, un des fondateurs de l'École sceptique et de la zététique ;
- Phédon d'Élis, philosophe proche de Socrate, fondateur de l'École d'Élis ;
- Hippias d'Élis, philosophe, mathématicien, diplomate, interlocuteur de Socrate dans certains dialogues de Platon ;
- Libon d'Élis, architecte grec du temple de Zeus à Olympie.
Adjectifs
Il existe plusieurs adjectifs qualifiant ce qui se rapporte à Élis : l'adjectif élien, l'adjectif éléen et l'adjectif éliaque.
Quant à ce qui se rapporte à l'Élide, l'adjectif correspondant est élidien.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Altis
À l’emplacement du site était l’Altis, un bois sacré, et l'Autel de Zeus. Le stade lui-même était au milieu d'un bois d'oliviers sauvages.
L’Altis (en grec ancien Ἀλτις), nom venant de ἄλσος, alsos, signifiant « bois sacré », se trouvait dans le Péloponnèse, plus précisément sur une petite plaine de l'Élide, sur la rive droite de l'Alphée près de la cité de Pyrgos à environ 18 kilomètres de la mer Ionienne et au pied du Mont Cronion. Ce fut d'abord un bois sacré où poussaient de magnifiques arbres, qui semblait avoir été occupé de manière continue depuis le début duIIIe millénaire av. J.‑C., et dans lequel se trouvait, enfoui au beau milieu, l'Autel de Zeus. Celui-ci succédait à un temple construit en l'honneur de la déesse Héra.
Sur ce site fut construit le centre religieux d'Olympie, un mur d’enceinte, le « temenos » délimitant l’espace sacré, l’Altis, de l’espace profane1. Cette enceinte sacrée, de forme à peu près carrée, s'étendait entre les fleuves Alphée et Cladéos ; on y trouvait les temples d'Héra, de Zeus et l'alignement des Trésors, ainsi que le grand autel de Zeus2.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Autel_de_Zeus_%C3%A0_Olympie
L'autel de Zeus à Olympie était un lieu de culte dédié à Zeus. Il se trouvait enfoui au milieu d'un bois sacré, l'Altis situé dans le Péloponnèse, à l'emplacement du site d'Olympie. Sur cet autel avait lieu des sacrifices, on faisait des hécatombes, c'est-à-dire qu'on sacrifiait 100 bœufs en une seule fois.
Olympie parmi les principaux sanctuaires ELLENIQUES.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Olympie
Le site semble avoir été occupé de manière continue depuis le début du IIIe millénaireav. J.‑C.. Olympie était un sanctuaire, et non une ville, uniquement habité par le personnel des temples et les prêtres du culte. Le sanctuaire était dédié à Zeus, sous l'égide duquel se tenaient des Jeux, tous les quatre ans, à partir de 776 avant J. C., date de la paix entreLycurgue, roi et législateur de Sparte, et le roi Iphitos, en Élide. Au moment de ces Jeux, on estime à plus de 40 000 le nombre de personnes présentes sur le site (athlètes, spectateurs, marchands, artisans, poètes, sculpteurs et architectes)1.
À l'origine, le sanctuaire d'Olympie dépendait de la cité de Pise, la plus importante de laTriphylie, une des régions de l'Arcadie. Puis les Arcadiens furent chassés au début duvie siècle av. J.-C. par les Éléens, qui, selon la légende, venaient de la Grèce centrale. Les Éléens faillirent perdre à leur tour Olympie à la fin du ve – début du ive siècle av. J.-C. au profit des premiers occupants et ils durent finalement remettre la conduite des concours aux Arcadiens en 364 av. J.-C.. Après des luttes sanglantes dans le sanctuaire même, ils reprirent le contrôle du sanctuaire et des concours, qu'ils conservèrent sans discontinuité jusqu'à la dernière célébration des Jeux en 393 ap. J.-C., année de l'interdiction des cultes païens par Théodose. Les monuments purent ensuite être en partie détruits à la suite d'un édit de Théodose II en 426. Une petite communauté chrétienne s'installe ensuite sur le site. On considère généralement qu'en 522 et 551 ap. J.-C., des tremblements de terre contribuèrent à la ruine définitive du site, une étude géomorphologique récente menée sous la direction d'Andreas Vött tendrait cependant à montrer le rôle d'un tsunami2.
1. Propylée nord-est ; 2. Prytanée ; 3. Philippéion ; 4. Héraion ; 5. Pélopéion ; 6. Nymphée d'Hérode Atticus ; 7. Métrôon ; 8. Zanes ; 9. Crypte (passage voûté vers le stade) ; 10. Stade ; 11. Stoa d'Écho ; 12. Monument de Ptolémée II et Arsinoé ; 13. Stoa d'Hestia ; 14. Bâtiment hellénistique ; 15. Temple de Zeus ; 16. Autel de Zeus ; 17. Ex-voto des Achéens ; 18. Ex-voto de Mikythos ; 19. Victoire de Paionios ; 20. Gymnase ; 21. Palestre ; 22. Théokoléon ; 23. Hérôon ; 24. Atelier de Phidias et basilique paléochrétienne ; 25. Thermes du Kladéos ; 26. Bains grecs ; 27 et 28. Hôtelleries ; 29. Léonidaion ; 30. Thermes sud ; 31. Bouleutérion ; 32. Stoa sud ; 33. Villa de Néron.
Trésors : I. Sicyone ; II. Syracuse ; III. Épidamne ? ; IV. Byzance ? ; V. Sybaris ? ; VI. Cyrène ? ; VII. non identifié ; VIII. Autel ? ; IX. Sélinonte ; X. Métaponte ; XI. Mégare ; XII. Géla.
Temple de Zeus
Le temple colossal de Zeus Olympien, de style dorique (64,2 m de long, 24,6 m de large), fut érigé entre470 et 456 av. J.-C. Il subit plusieurs catastrophes, notamment un incendie vers 426 av. J.-C., et un tremblement de terre un siècle plus tard, qui le détruisit. L'ensemble du site a été retrouvé enfoui sous une couche d'alluvions de plusieurs mètres d'épaisseur.
Ce temple fut construit grâce au butin rapporté suite à la victoire contre Pise. À l'origine, la ville d'Olympie n'était pas une ville, mais un sanctuaire créé par Pélops et Héraclès. Le sanctuaire était rattaché à la ville grecque de Pise. Quand il s'en détacha, il devint une ville et prit Zeus pour dieu protecteur.
Les deux frontons du temple abritent des scènes mythologiques sculptées en ronde bosse dans le marbre. La plus grande (au centre) mesure 3,15 mètres. Certaines de ces statues ont été évidées pour réduire leur poids. Le fronton est représentait la course de chars entre Pélops et Œnomaos. Le fronton ouest représentait la Centauromachie (bataille des Lapithes contre les Centaures).
Douze métopes situées aux extrémités supérieures des porches intérieurs représentaient les douzetravaux d'Héraclès (fils de Zeus et fondateur des Jeux olympiques).
Les scènes représentées dans le temple sont celles de l'origine du sanctuaire et de la ville d'Olympie.
Le temple de Zeus abritait l'une des sept anciennes merveilles du monde, la statue chryséléphantine (d'or et d'ivoire) de Zeus, abondamment décrite par Pausanias. Cette statue fut sculptée par l'atelier de Phidiasvers -440 / -430. Elle mesurait 12,75 m de haut ; le corps était fait d'ivoire, les cheveux, la barbe, les sandales, et la draperie, en or. Le trône était d'ébène et d'ivoire. Par vénération pour le sculpteur, l'atelier fut conservé jusqu'au ve siècle après J.-C.. Il fut ensuite transformé en basilique chrétienne. Le temple était, quant à lui, de style dorique périptère (6 × 13 colonnes), construit avec le calcaire coquillier local et recouvert de stuc blanc. Seul le toit et quelques décors étaient en marbre.
Le temple de Zeus est dû à l'architecte éléen Libon (en).
Temple d'Héra
Consacré à Héra, l’Héraion, temple périptère, probablement le premier édifice dorique connu duPéloponnèse, date des environs de 600 av. J.-C. Ses colonnes (6 sur les petits côtés, 16 sur les longs côtés) étaient à l'origine toutes en chêne. Elles furent progressivement remplacées par des colonnes de pierre. Pausanias mentionne encore une colonne de bois à son époque. Les chapiteaux étaient donc divers, suivant le style alors en usage au moment du remplacement3.
Il abritait la table sur laquelle on plaçait les couronnes préparées pour les vainqueurs des jeux. C'est dans ce temple que fut retrouvé l'Hermès de Praxitèle.
Installations sportives
Stade
Le stade faisait 192,27m de long. Il existe plusieurs épreuves: la première consiste à faire un tour de piste (le dromos), la seconde deux (le diaulos) et la troisième 7,14 ou 24 tours (le dolichos). Tous les stades ne faisaient pas la même longueur, certains étaient plus longs que d'autres.
Palestre
La palestre remonte au iiie siècle av. J.-C. Elle a le même plan carré qu'un gymnase, mais elle est plus petite. Les athlètes s'y entraînaient aux sports ne nécessitant pas trop de place : lutte et saut principalement. Autour de l'espace central, les portiques étaient organisés en petites pièces où les athlètes se préparaient et s'entretenaient avec leur entraîneur. Les petites pièces des angles est et ouest sont des bains4.
La palestre est séparée du gymnase par un propylée de style corinthien datant du iie siècle av. J.-C.4.
C'est l’école de lutte, où tous les compétiteurs sont obligés de s’entraîner un mois avant les jeux. Ils s’exercent aussi à être de bons soldats, capables de défendre leur cité, leur liberté, leur civilisation. Les athlètes se dépassent dans l’effort physique en l’honneur des dieux. En outre, l’exercice physique a une place importante dans la civilisation grecque car, pour les Grecs, la perfection morale et l’excellence physique vont ensemble. Le but est d’obtenir l’équilibre du corps et de l’esprit.
Gymnase
Le gymnase remonte à l'époque hellénistique. Les athlètes y pratiquaient les sports nécessitant de la place dont le javelot, le disque et la course. Il est constitué d'un grand espace rectangulaire central (120 m sur 200 m) bordé de portiques doriques. Le portique est fait d'une double colonnade, avait la longueur d'un stade et permettait donc de s'entraîner à la course, même par mauvais temps. Le portique sud est le mieux conservé4.
Bâtiments civils
Bouleuterion
De plan rectangulaire, il est destiné à l’assemblée du peuple et c’est là où siège le sénat olympique (autorité supérieure des Jeux). C’est également à cet endroit que les concurrents prêtent serment.
Prytanée
C’est le lieu où les vainqueurs des Jeux sont reçus et se divertissent. Il y a aussi de nombreuses infrastructures sportives (comme les bains et les thermes) qui sont des édifices remarquables pour leur aspect fonctionnel et leur élégance.
Autres monuments
Atelier de Phidias
À l'ouest du temple de Zeus se trouvent les vestiges d'un bâtiment identifié grâce à Pausanias et aux fouilles du xixe siècle comme l'atelier utilisé par Phidias pour créer sa statue chryséléphantine de Zeus, qui compte parmi les Sept merveilles du monde. Les dimensions, 32 m × 14,5, sont exactement celle de la cella du temple. Les murs étaient à l'origine en brique crue posée sur un lit de pierre.
Sur ces fondations est venue s'installer, au Ve siècle, une église byzantine dont on distingue un peu partout les symboles et les ornements. L'ancienne porte monumentale de l'atelier fut alors convertie en abside.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Statue_chrys%C3%A9l%C3%A9phantine
Le chryséléphantin (terme venant du grec chrysós (χρυσός) signifiant « or » et elephántinos (ελεφάντινος) signifiant « ivoire ») est une technique de sculpture apparue en Grèce aux alentours du vie siècle av. J.-C., se caractérisant par l'utilisation de plaques d'ivoire (généralement pour représenter la chair, le corps humain) et d'or assemblées sur une armature de bois.
Une statue créée avec cette technique est appelée une chryséléphantine.
On peut citer l'exemple de la statue d'Athéna, l’Athéna Parthénos, qui se trouvait dans le Parthénon, faited'or et d'ivoire, et qui était donc une statue chryséléphantine, mais aussi celle de Zeus à Olympie sculptée par Phidias et faisant partie des Sept merveilles du monde.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Sept_merveilles_du_monde
Les Sept Merveilles du monde, dont la genèse de la liste est méconnue, constituent l’ensemble des sept œuvres architecturales et artistiques les plus extraordinaires du monde antique. Elles correspondent toutes à des réalisations qui excèdent largement les proportions communes. Ces œuvres montrent qu’avec des moyens, pour nous rudimentaires, architectes et bâtisseurs de l'époque étaient capables, à force de labeur et d’ingéniosité, d’ouvrages prodigieux (en grec : « thaumasia »). La popularité des monuments a suivi l’influence politique et économique des cités, et la construction d’un élément architectural imposant venait consacrer cette prédominance : Memphis, Éphèse, Halicarnasse, Rhodes, Babylone, Olympie et Alexandrie. De sorte que si le monument était l’emblème de la cité, leurs destins à tous deux, on l’a constaté, étaient inévitablement liés.
Ces sept œuvres étaient : la pyramide de Khéops à Memphis en Égypte, les jardins suspendus de Babylone, la statue de Zeus à Olympie, le temple d'Artémis à Éphèse, leMausolée d'Halicarnasse, le Colosse de Rhodes et le phare d'Alexandrie.
De ces sept « Merveilles », seule subsiste aujourd'hui la pyramide de Khéops.
Αρχείο:Elis.jpg
Άγαλμα του Ολυμπίου Διός
Φανταστική απεικόνιση του Αγάλματος του Ολυμπίου Διός | |
Είδος Τέχνης | χρυσελεφάντινο άγαλμα |
Έτος κατασκευής | γύρω στο 430 π.Χ. |
Καλλιτέχνης | Φειδίας |
Διαστάσεις | 13 μέτρα ύψος συν 1,1 μέτρα η βάση |
Μουσείο | Ναός του Δία στην Ολυμπία |
Pélopéion
Le Pélopion est un monument en l'honneur de Pélops. Il consistait en un autel ceint d'un mur pentagonal doté d'une entrée monumentale. Le monument connut de très nombreuses transformations entre levie siècle av. J.-C. et le ive siècle av. J.-C..
Léonidaion
Ce grand bâtiment, divisé en chambres et appartements, agrémenté de jardins et de fontaines, est un logis de luxe, construit en 330 av. J.-C. à l'extérieur de l’Altis, au sud-ouest, servant d'hôtellerie pour les hôtes de marque et les athlètes. Son nom lui vient de son donateur et architecte Léonidas de Naxos.
Le site du Léonidaion a été dégagé lors des fouilles menées par Emil Kunze (de), de 1937 à 1966.
Philippéion
Le Philippéion fut érigé sur l'ordre de Philippe II de Macédoine après sa victoire à la Bataille de Chéronée (338 av. J.-C.) Ce bâtiment rond abritait les statues chryséléphantines, œuvres de Léocharès) de Philippe, de son épouse Olympias, de son père Amyntas III, de sa mère Eurydice et de son fils Alexandre le grand3.