SAVOIR LIRE LA SEROLOGIE VIROLOGIQUE !! D'UN PETIT PROBLèME COMMENT NOUS POUVONS AVOIR UN GRAVE PROBLèME! DE MARS 2012 AU 15 OCTOBRE 2013

LE 15 OCTOBRE 2013

Je récapitule ma mésaventure concernant la maladie d'un petit problème de l'oreille :

Mars 2012 : infection à l'oreille, qui ne guérit pas après 3 mois d'Antibiothérapie.

SANS PRISE DE SANG SPéCIFIQUE ET SANS AUCUN CONTRÔLE : ON ME MET SOUS PULMICORT, CORTISONE AVEC UN APPAREIL à VAPEUR : mon oreille commence à frétiller, et l'engourdissement est présent, quand je passe mon doigt !

ET LA TÊTE COMMENCE à ME FAIRE TRèS MAL TOUS LES SOIRS !

EN JUIN 2012 : Le médecin d'une amie prescrit une prise de sang complète avec contrôle dans le sang des virus :

CETTE SéROLOGIE VIROLOGIQUE MONTRE CLAIREMENT LA RéACTIVATION des virus de la famille Herpès Viridae.

TOUS LES IgG SONT ASSEZ éLEVéS.

SéROLOGIE VIRALE :                                  Résultat                 Unité            Valeurs de référence

PAUL-BRUNELL (Mononucl)                     négatif

EBC VCA IgG                                                  613  (I)                     U/ml                 <20

EBV VCA IgM                                                  <10.0 (N)                 U/ml                 <20                RéACTIVATION 

EBV  EA IgG                                                    50  (I)                        U/mL               < 10 

EBV - EBNA IgG                                             > 600 (I)                    U/mL              <   5

Varicelle IgG                                                    1 734                       mUI/mL           <150

HSV I et II  IgG                                                      15.1 (I)                                         <0.9

HSV I et II IgM                                                        <0.50 (N)                                     < 0.9


CETTE PRISE DE SANG ET CETTE SéROLOGIE VIROLOGIQUE A éTé MONTRéE à TOUS LES MéDECINS, CHEFS DE SERVICE, infectiologues, médecine interne, aux urgences, aux neurologues, aux ORL, médecins généralistes, y compris le médecin qui a demandé cette prise de sang.

PERSONNE N'A SU LIRE ET COMPRENDRE CETTE PRISE DE SANG !

PERSONNE !

ET LE LABORATOIRE AVAIT FAIT UNE ACCOLADE REPRENANT LES 4 EBV ET AVAIT ANNOTé à côté : RéACTIVATION.

Après maints examents, IRM, SCANNER, etc. TOUS LES EXAMENS NéGATIFS.

QUAND EN JANVIER 2013, on me fit le PET-SCAN, les artères et le nerf trijumeau étaient enflammés. J'ai demandé aux médecins de l'hôpital, de BIEN VéRIFIER L'HERPèS. CAR cela allait mieux sous ACICLOVIR, MES PLANTES, ET L'ISOBETADINE ! ET que j'avais empiré SOUS PULMICORT!

ON ME FIT 2 PCR: contrôle Herpès : trouble mais PCR négatif !

JE REPROCHE AUX MéDECINS, DE NE PAS VOULOIR ENTENDRE CE QUE LE PATIENT DIT DANS LA SYMPTOMATOLOGIE,

MAIS DE SE FIER UNIQUEMENT AUX EXAMENS QUI PEUVENT NE PAS ÊTRE FIABLES à 100 % !

J'ai demandé une BIOPSIE à PARTIR DES GENCIVES pour vérifier l'HERPèS, et on me fit une biopsie pour contrôler LA MALADIE HORTON qui était négative, SANS CONTRÔLER L'HERPèS, comme je l'avais demandé.

PUIS j'ai été mise SOUS CORTISONE, j'ai commencé à avoir très mal à la joue, AUX YEUX, ET AUX GENCIVES.

BIOPSIE QUE J'AI DEMANDéE à partir des muqueuses de la bouche : LICHEN PLAN !

HEUREUSEMENT, un ORL après mon arrêt de la cortisone après 3 mois, m'a remis sous Aciclovir 800 mg/5/par jour.

Le chef de service qui m'avait mis sous CORTISONE POUR LA MALADIE DE HORTON, m'a dit : JE NE SAIS PLUS VOUS SOIGNER PARCE QUE VOUS AVEZ ARRÊTé LA CORTISONE.

J'ai été voir un autre spécialiste, qui lui suite à la description de mes symptômes, en a conclu à VASCULOPATHIE MULTIFOCALE à VZV (zona-varicelle).

MAIS pour être mise en ACICLOVIR EN INTRAVEINEUSE, il fallait une ponction lombaire.

Un vendredi de ce mois d'octobre 2013, j'ai fait la ponction lombaire.

LA PONCTION LOMBAIRE a montré que TOUS LES HERPèS de la famille DES HERPèS VIRIDAE sont POSITIFS.

HERPES SIMPLEX : POSITIF

VARICELLE              : POSITIF

EPSTEIN BARR       : POSITIF

VOILà comment d'un petit problème, à la sortie,

je me retrouve avec un gros problème.

ET SI JE N'AVAIS PAS LES CONNAISSANCES PHYTOTHéRAPEUTIQUES ACQUISES PAR MES LECTURES ET LE VéCU, ET LES CONNAISSANCES SUR L'ISOBETADINE, je ne vous dis que cela !!!!

Mon médecin traitant a arrêté l'ACICLOVIR, APRèS LECTURE DE CETTE PRISE DE SANG, car dit-elle, les IGM sont négatifs, par conséquent il n'y a rien.

JE L'AI MONTRé à TOUS DANS LES HÔPITAUX AUX URGENCES, ET à DES SPéCIALISTES : GRAVISSIME !, PERSONNE N'A PU LIRE  LA RéACTIVATION, qui pourtant était bien mentionnée sur le papier par LE LABORATOIRE DES ANALYSES.

JE PENSE que les médecins doivent réapprendre à lire LES PRISES DE SANG VIROLOGIQUES, ET NE PAS PRESCRIRE DE CORTISONE, AVANT D'AVOIR CONTRÔLER LES VIRUS.

CAR si cela ne répond pas aux antibiotiques, C'EST QUE C'EST PROBABLEMENT SOIT VIRAL, SOIT MYCOSE, SOIT PARASITE. MAIS IL FAUT CONTRÔLER, CAR LES CONSéQUENCES PEUVENT ÊTRE MORTELS POUR LES MALADES.

EN D'AUTRES MOTS, d'un petit truc qui se soigne assez facilement, ON PEUT VOUS ARRANGER AVEC UN GROS TRUC, qui peut se transformer en mortel, ou paraplégique ou aveugle, etc.

LECTURE SéROLOGIE VIROLOGIQUE

http://www.ch-beauvais.fr/guideanalyse/serovir.html

EBV virus d'Epstein-Barr
- MNI test
- Sérologie EBV (VCA - EBNA)


EBV


Synonymes : Virus d'Epstein-Barr

Intéret clinique : Le Virus d'Epstein-Barr (EBV) fait partie des Herpesviridae. La primo-infection a lieu en général dans l'enfance, elle est non spécifique ou asymptômatique.  La mononucléose infectieuse est une forme tardive de primo-infection chez l'adolescent et le jeune adulte. Le virus persiste dans l'organisme à l'état latent et peut se réactiver de façon silencieuses. L'EBV est un virus oncogène. Chez le sujet immunodéprimé, la perte du contrôle immunitaire peut aboutir à des manifestations cliniques sévères.
La sérologie classique associe la recherche des IgG et des IgM anti-VCA et des IgG anti-EBNA.

Les IgM sont présentes les trois premiers mois.

Les anti-EBNA apparaissent au bout de trois mois.

Les IgG anti-EA peuvent avoir un intérêt dans les infections actives.

http://www.sante.public.lu/fr/maladies-traitements/020-examens/analyses-biologiques/serologies-virales-bacteriennes-parasitaires/index.html

Quelles sont les recherches spécifiques réalisées au cours d'une sérologie?

  • Les sérologies permettent de rechercher plusieurs types d'anticorps: les immunoglobulines de type M (IgM), les IgG ou bien les anticorps totaux (IgM + IgG).
  • En cas de primo-infection sont d'abord fabriquées les IgM, puis les IgG spécifiques de l'agent responsable de l'infection. Leur taux croît assez rapidement en début d'infection. Les IgM disparaissent généralement en quelques mois (ceci est variable selon l'agent infectieux) tandis que les IgG persistent très longtemps, voire toute la vie (on parle de "trace sérologique"). Le plus souvent ces anticorps sont protecteurs. Ils protègent donc d'une éventuelle ré-infection par l'agent en cause.


Quelles sont les valeurs normales?

En l'absence d'infection, il n'y a pas d'anticorps spécifique de l'agent infectieux recherché. La sérologie est dite négative. Au-delà d'un certain seuil (variable selon l'agent infectieux étudié et selon la technique utilisée), la présence des anticorps est significative. La sérologie est positive: on parle de séropositivité.

Comment est interprété le résultat?

L'interprétation varie beaucoup en fonction de l'infection recherchée et des techniques utilisées.

D'une manière générale, trois informations sont importantes:

  • Une sérologie s'interprète au minimum sur deux prélèvements, réalisés le plus souvent à 2 ou 3 semaines d'écart.
  • Le taux d'anticorps permet de différencier des taux inférieurs au seuil de positivité ou supérieur au seuil de positivité.
  • On différencie aussi les variations d'un taux d'anticorps totaux, d'IgG et d'IgM.

Quelles sont les valeurs normales?

En l'absence d'infection, il n'y a pas d'anticorps spécifique de l'agent infectieux recherché.

La sérologie est dite négative. Au-delà d'un certain seuil (variable selon l'agent infectieux étudié et selon la technique utilisée), la présence des anticorps est significative. La sérologie est positive: on parle de séropositivité.

Un taux d'anticorps supérieur au seuil de positivité signifie que la personne a été en contact avec ce virus. L'infection peut être ancienne ou récente, que le taux d'anticorps soit faible ou élevé

http://www.phac-aspc.gc.ca/lab-bio/res/psds-ftss/epstein-barr-fra.php


































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