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SICHEM: ENTRE BETHIL ET AY! L'AUTEL ET LES HOLOCAUSTES MONT EBAL! YEHOCHOUA éCRIT LE DOUBLE DU LIVRE DE LA LOI DEVANT ISRAÏL ET ETRANGERS

8 : 12 Yehochoua prit environ cinq mille hommes, et les mit en embuscade entre BETHIL ET AY, à l'ouest de la ville.

A SICHEM, CONFIRMATION DE L'ALLIANCE. AUTEL DE YAHWEH SUR LE MONT HEBAL.

8 : 30 ALORS Yehochoua BÂTIT UN AUTEL à Yahweh, ILOHIM D'ISRAÏL, SUR LE MONT HEBAL, 31 selon l'ordre que Moïse, serviteur de Yahweh, avait donné aux enfants d'Israïl COMME IL EST éCRIT DANS LE LIVRE DE LA LOI DE MOÏSE, UN AUTEL DE pierres brutes, sur lesquelles on n'avait pas brandi le fer.

ILS Y OFFRIRENT DES HOLOCAUSTES à YAHWEH ET FIRENT DES SACRIFICES PACIFIQUES.

32 YEHOCHOUA éCRIVIT SUR LES PIERRES UN DOUBLE DE LA LOI DE MOÏSE, qu'il écrivit en présence des enfants d'Israïl.

33 Tout Israïl, ses anciens, ses dignitaires et ses juges, SE TENAIENT DES DEUX CÔTéS DE L'ARCHE, devant les prêtres lévitiques, qui portaient l'ARCHE DE L'ALLIANCE DE YAHWEH, LES éTRANGERS AUSSI BIEN QUE LES CITOYENS, une moitié du côté du mont Garizim, une moitié du côté du mont Hébal, SELON L'ORDRE QUE MOÏSE, serviteur de Yahweh, AVAIT DONNé JADIS DE BéNIR LE PEUPLE D'ISRAÏL.

34 PUIS YEHOCHOUA LUT TOUTES LES PAROLES DE  LA LOI, LA BéNéDICTION ET LA MALéDICTION, SUIVANT TOUT CE QUI EST éCRIT DANS LE LIVRE DE LA LOI.

35 PAS UN MOT DE TOUT CE QUE MOÏSE AVAIT PRESCRIT QUE N'AIT LU YEHOCHOUA EN PRéSENCE DE TOUTE L'ASSEMBLéE D'ISRAÏL, des femmes et des enfants, et des étrangers qui cheminaient avec eux.

(COMMENTAIRES PERSONNELS : L'AUTEL ET LES SACRIFICES COMME MOÏSE L'AVAIT PRESCRIT EST SUR LE MONT HEBAL. ILS SE TIENNENT DES DEUX CÔTéS DE L'ARCHE DE L'ALLIANCE DE YAHWEH ET éCOUTENT LA LECTURE DU LIVRE DE LA LOI DE YAHWEH, TRANSMISE à MOÏSE. UNE MOITIé SUR LE MONT HEBAL, ET L'AUTRE MOITIé TOUJOURS SUR LE MONT HEBAL, MAIS EN FACE D'EUX SE TROUVE LE MOT GARIZIM.)

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MONT HEBAL EN FACE DU MONT GARIZIM.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Mont_Garizim

Le mont Garizim (en hébreu samaritain : Ar-garízim, en arabe : جبل جرزيم Jabal Jarizīm, enhébreu : הַר גְּרִיזִּים Har Gərizzim) est une montagne de Cisjordanie près de Naplouse, dans la région historique de la Samarie. Cette montagne est un lieu saint pour les Samaritains, qui peuvent faire valoir qu'elle est citée dans la Torah.

Géographie

La hauteur du mont Garizim est de 881 mètres, très abrupte sur son flanc nord et recouverte de broussailles au sommet. C'est une des montagnes les plus élevées de Cisjordanie et d'Israël. À ses pieds jaillit au printemps une source d'eau fraîche.

Deux villages sont situés sur les flancs de la montagne : Kiryat Luza (Samaritains) et Har Bracha (Juifs).

Histoire

Aux alentours de -330 av. J.-C., la population samaritaine a bâti au sommet de la montagne un temple devenu le centre religieux du samaritanisme, à la façon du Temple de Jérusalem pour le judaïsme. Ce temple sera construit un peu avant1la conquête d'Alexandre le Grand, ou juste après2.

Le temple est alors entouré de fortifications (d'après le Livre des Macchabées). Il sera cependant détruit par le roi Hasmonéen Jean Hyrcan Ier au deuxième siècle avant l'ère chrétienne (vers -108 av. J.-C.).

Le temple est reconstruit peu après la révolte avortée juive de Bar-Kokheba (132-135). À partir de sa conversion au christianisme, l'empire byzantina cependant tenté de convertir de force les minorités (chrétiens hétérodoxes ou non-chrétiens) à sa version du christianisme. Ainsi, l'empereurZénon (né en 427 - règne de 474 à sa mort en 491) s'en prend aux Juifs et aux Samaritains. Sous son règne, le temple samaritain est une seconde fois détruit (en 484, semble-t-il), et ce, de façon définitive. Il ne sera jamais reconstruit2.

Malgré la destruction du temple, la montagne est restée le centre religieux des Samaritains jusqu'à nos jours. C'est ainsi autour du mont Garizim que doit résider le grand-prêtre Samaritain. Celui-ci est choisi au sein de la famille (ou « maison ») sacerdotale « qui est supposée descendre du fils de Aaron, frère de Moïse »3.

Les Samaritains vivaient quasiment tous il y a une centaine d'années dans un quartier de Naplouse (l'ancienne Shechem), en Cisjordanie, en dessous du mont, sur lequel ils n'avaient pas de droits particuliers. Le roi Hussein de Jordanie acheta des terres sur le mont Garizim, qu'il remit à la communauté samaritaine. Celle-ci y construisit un village du nom de Kiryat Luza. La zone est aujourd'hui le centre de la vie spirituelle de toute la communauté. À ce titre, le grand-prêtre y réside. Pour les Samaritains, la décision de Hussein de Jordanie a donc été particulièrement importante et positive. Le village comprend des habitations, un centre communautaire, une synagogue. Tous les habitants Samaritains de Naplouse ne vivent pas à Kiryat Luza, mais sous la pression des deux Intifada, beaucoup se sont cependant installés dans la zone plus calme du mont Garizim.

Les Samaritains de Cisjordanie parlent arabe dans la vie quotidienne, et utilisent une forme particulière d'hébreu pour la liturgie religieuse : l'hébreu samaritain.

Ce lieu est cité dans les visions de Catherine Emmerich4.

 http://fr.wikipedia.org/wiki/Catherine_Emmerich

Anna Katharina Emmerick, née le 8 septembre 1774 à Coesfeld (actuellement en Rhénanie-du-Nord-Westphalie) et décédée le 9 février 1824 à Dülmen (dans la province de Westphalie, rattachée à la Prussepar le Congrès de Vienne) est une religieuse (dans l'ordre des augustines) et une mystique allemande.
En 2004, elle a été béatifiée par le pape Jean-Paul II.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Augustins

SACRE COEUR 

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À la suite des visions d'Anna Katharina, la sépulture et la maison de la Vierge Marie auraient été redécouvertes en 1881 par l'abbé Gouyet sur une colline près d'Éphèse.

Les restes d'Anna Catherine Emmerick reposent dans la crypte de l'église Sainte-Croix à Dülmen.

Les stigmates

Dès 1799, Anne-Catherine ressent les douleurs de la couronne d'épines ; le sang coule chaque vendredi, mais elle réussit à le dissimuler. En automne 1807, commencent les douleurs des stigmates aux pieds et aux mains, sans écoulement de sang ni marque extérieure. Le 25 novembre1812, une croix se forme sur la poitrine ; cette croix, qui se doublait à Noël, saignait ordinairement le mercredi. Les derniers jours de 1812, lesstigmates des mains, des pieds et du côté deviennent apparents ; le sang coule. Aucune vision n'accompagne la stigmatisation, comme A.-C. Emmerick l'affirmera sous serment aux enquêteurs ecclésiastiques.

W. Wesener, le premier, relate, chez A.C. Emmerich, de nombreux cas de hiérognosie. Dès 1817, Christian Brentano avait, en effet, découvert, comme s'en étaient déjà aperçus l'abbé Lambert et le P. Limberg, l'extrême sensibilité de la stigmatisée au sacré, surtout pendant ses extases, qu'il s'agisse d'authentifier des reliques, de reconnaître des hosties consacrées ou d'obéir aux ordres de l'autorité ecclésiastique. Clément Brentano, de son côté, rendit le Dr Wesener attentif au fait que la stigmatisée acceptait volontairement de prendre sur elle maladies et souffrances d'autrui.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Augustins

SUITE

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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