RéPANSION EAU DEVANT YAHWEH ET JEÛNE à MISPA: RAJOUTS DES ELLINèS! SAMUÏL: GRAND PRÊTRE OFFRE HOLOCAUSTE! PHILISTINS SONT AMORRHEENS!
DéFAITE DES PHILISTINS. L'EAU DEVANT YAHWEH. LE JEÛNE.
7 : 2 Depuis le jour où l'arche fut déposée à QIRYAT-YEARIM, il se passa un long temps, vingt années, et toute la maison d'Israël regarda vers Yahweh.
3 ET SAMUEL dit à toute la maison d'Israël : "Si c'est de tout votre coeur que vous revenez à Yahweh, ôtez du milieu de vous LES DIEUX éTRANGERS ET LES ASTARTES, dirigez votre coeur vers Yahweh et servez-Le, LUI SEUL, et IL vous délivrera des Philistins".
4 Alors les enfants d'Israël ôtèrent du milieu d'eux LES BAALS ET LES ASTARTES, et ils servirent Yahweh SEUL.
5 Ensuite Samuel dit : "Assemblez tout Israël à MISPA, et je prierai Yahweh pour vous".
6 Et ils s'assemblèrent à MISPA. ILS PUISèRENT DE
L'EAU ET LA RéPANDIRENT DEVANT YAHWEH,
ET ILS JEÛNèRENT CE JOUR-Là, ET ILS DIRENT :
"Nous avons péché contre Yahweh". Et SAMUEL JUGEA LES ENFANTS D'ISRAËL à MISPA.
7 OR les Philistins apprirent que les enfants d'Israïl s'étaient assemblés à MISPA, et les satrapes des Philistins montèrent contre Israïl. Les enfants d'Israïl l'apprirent ET EURENT PEUR DES PHILISTINS;
8 et les enfants d'Israël dirent à SAMUÏL : "Ne te tais pas dans LE CRI que tu pousses pour nous VERS YAHWEH, NOTRE ILOHIM, afin qu'IL nous sauve de la main des Philistins".
9 SAMUÏL prit un agneau de lait, et l'offrit tout entier en HOLOCAUSTE à YAHWEH; ET SAMUÏL CRIA VERS YAHWEH pour Israïl et YAHWEH L'EXAUçA. (A SILO)
10 Pendant que SAMUÏL OFFRAIT L'HOLOCAUSTE, les Philistins s'approchèrent POUR COMBATTRE CONTRE ISRAÏL.
MAIS YAHWEH EN CE JOUR TONNA, à GRAND FRACAS CONTRE LES PHILISTINS ET LES éPOUVANTA, ET ILS FURENT défaits par Israïl.
11 Et les hommes d'Israïl, sortant de MISPA, poursuivirent les Philistins et les battirent jusqu'au-dessous de Bet-Kâr.
12 ALORS SAMUÏL prit une pierre, qu'il plaça entre Mispa et Yechana, et il lui donna le nom d'EBEN-HA-EZER, en disant : "JUSQU'ICI YAHWEH NOUS A SECOURUS".
(BAS DE PAGE : 12. EBEN-HA-EZER signifie : PIERRE DU SECOURS.)
13 Les Philistins furent donc abaissés et NE RECOMMENCèRENT PLUS à VENIR SUR LE TERRITOIRE D'ISRAÏL; LA MAIN DE YAHWEH FUT SUR LES PHILISTINS PENDANT TOUS LES JOURS DE SAMUÏL.
14 Et les villes que les Philistins avaient prises sur Israël retournèrent à Israël, depuis Eqron jusqu'à Gat; Israël délivra leur territoire de la main des Philistins.
ET il y eut paix entre ISRAËL ET LES AMORRHéENS.
15 SAMUEL FUT JUGE EN ISRAËL TOUS LES JOURS DE SA VIE.
16 Chaque année, il s'en allait, faisant le tour par BETHEL, GUILGAL ET MISPA, ET IL JUGEAIT ISRAÏL DANS TOUS CES LIEUX.
17 Il revenait ensuite à RAMA, où était sa maison, et là il jugeait Israïl; IL Y BÂTIT UN AUTEL à YAHWEH.
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EAU BéNITE.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Eau_b%C3%A9nite
L’eau bénite1 est un liquide utilisé à des fins cultuelles par certaines confessions chrétiennes comme l’Église anglicane, l’orthodoxie orientale, les Églises catholiques orientales, l’Église catholique romaine et l’Église vieille-catholique.
Son utilisation provient de la religion romaine,
où elle était employée par les pontifes2.
Dans la tradition chrétienne, il existe trois types d’eau bénite : elles diffèrent entre elles, par leur usage, par la nature des éléments qui la composent, et par la bénédiction spéciale donnée à chacune d'elles.
- L’eau bénite est une eau naturelle consacrée au service divin par un rite de bénédiction. On peut y ajouter du sel, également béni (le sel bénit), qui rappelle le sel jeté dans les eaux par le prophèteÉlisée pour les guérir de leur stérilité. Elle sert aux aspersions des fidèles et aux diversesbénédictions. Elle peut être bénie à tout moment, mais sa bénédiction plus solennelle se fait avant l’aspersion dominicale.
- L’eau grégorienne, est une eau lustrale qui sert à la consécration des autels et des églises. À l’eau on ajoute du sel, principe de santé et de fécondité, élément de saveur et de conservation ; de la cendre, en signe de contrition et d’humilité ; et du vin, symbole d'abondance spirituelle, de force, de vie et de joie. Elle servait également à la réconciliation des églises profanées.
Autrefois, on bénissait également de l’eau à diverses occasions, en l’honneur de certains saints. Ces eaux étaient censées apporter certaines protections. Par exemple, on en bénissait en même temps que du pain, du vin, et des fruits pour la fête de saint Blaise, pour protéger contre les maux de gorge ; en l’honneur de saint Hubert, on bénissait de l’eau, du sel et du pain pour se prémunir de la rage canine.
Contrairement à une idée répandue, l'eau de Lourdes ne doit pas être confondue avec de l'eau bénite. C’est une eau banale, légèrement calcaire, comparable à celle de toutes les sources voisines. Sa popularité est due aux « miracles de Lourdes » dont elle est le moyen le plus fréquemment constaté3. Elle ne fait l'objet d'aucun rite de bénédiction.
Fonts baptismaux
Réserve d'eau bénite en grès deBetschdorf
RéSERVE D'EAU BéNITE PORTANT LE CHRISME DE CONSTANTIN, DANS SA VISION, LE CHRISME.
et LES 2 BRANCHES DE LAURIERS ET LA CROIX !
- L’eau baptismale est l'eau servant à l'administration du baptême. Cette eau est traditionnellement bénie pendant la vigile pascale et elle sert pendant toute l'année. Cependant, là où l'on ne célèbre pas cette vigile, on peut bénir l'eau avant chaque baptême. Avant les réformes liturgiques post-conciliaires, on y infusait l'huile des catéchumènes et le Saint-Chrême.
Vin et religion
Le vin et la religion, depuis la plus haute antiquité, ont des rapports fort étroits. Plante revêtant un aspect très austère l'hiver, son débourrage spectaculaire au printemps fait que la vigne a été très tôt associée à la renaissance de la vie après la mort, thème majeur de la mythologie dyonisiaque et chrétienne294. Il a été et reste un élément important des pratiques rituelles et sacrificielles. En Grèce, il fut à la fois l'objet d'un culte et un symbole de la culture. Les Mystères célébrés en l'honneur de Dionysos donnèrent naissance au théâtre. Rome eut des rapports plus conflictuels avec Bacchus, dieu du vin, et les bacchanales. Cette cérémonie religieuse, qui tournait à l'orgie, fut un temps interdite. La sacralisation du vin, sang de Dieu, n'intervint qu'à travers le christianisme. Et ce n'a point été le cas dans le judaïsme où il est objet de sacrifice et de bénédiction ni dans l'islam où il est à la fois objet d'interdiction et de répulsion mais aussi la récompense suprême au paradis295. Le vin, breuvage d'exception, a suscité toute une symbolique. Elle est liée à la vigne qui, après avoir donné une abondante vendange, gage de félicité, semble mourir en hiver pour renaître au printemps. Symbole de résurrection et de vie éternelle, le vin qu'elle produit peut être à la fois bienfaisant bu à faible dose, et devenir redoutable bu avec excès296.
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LE JEÛNE :
MOI YAHWEH, VOTRE ILOHIM,
JE NE VOUS AI JAMAIS DEMANDé DE JEÛNER !
A PERSONNE !
http://fr.wikipedia.org/wiki/Je%C3%BBne
Le jeûne est la privation, volontaire ou non, de nourriture, accompagnée ou pas d'une consommation d'eau (l'absence d'apport hydrique convenable n'est pas envisagé ici). Le jeûne met en marche des mécanismes d'adaptations physiologiques qui sont l'héritage du lent processus de l'évolution. D'un point de vue médical, la période de jeûne commence à partir de la sixième heure après le dernier repas1. Le jeûne fait partie intégrante de la pratique de nombreuses religions (ramadan, carême). Il est le quotidien d'une grande partie de la population des pays en voie de développement.
Jeûne religieux et philosophique
Le jeûne pour raisons médicales ou spirituelles est connu depuis l'Antiquité.
Il en est fait mention dans le Mahâbhârata et les Upaniṣad.
Dans la Grèce antique, lorsque quelqu'un tombait malade et
venait voir les prêtres du temple du dieu guérisseur Asclépios (Esculape pour les Romains), ces derniers, quant ils n'arrivaient pas à le guérir par les méthodes traditionnelles alors en usage, avaient parfois recours à une méthode expéditive. On exilait semble-t-il, le « malade » avec une bonne quantité d'eau douce (et sans aucune nourriture), durant une trentaine de jour, sur un rocher éloigné dans la mer ou ailleurs, où il était censé prier. Quant on allait le rechercher, on le ré-alimentait en douceur, et quelques temps plus tard, la santé revenait.
Le jeûne s'est particulièrement développé au Moyen-Orient et Asie du Sud-Est, avec l'islam, et en Occident avec la diffusion du christianisme.
Tradition juive
La religion juive recommande les jeûnes (Taanit) suivants : Yom Kippour, Tisha Beav (les seuls jeûnes mentionnés dans la Torah), le 17 Tammouz, le jeûne de Guedalia, le 10 Tevet, le jeûne des premiers-nés, le jeûne d'Esther, la plupart étant des jeûnes de deuil.
Christianisme
Église catholique et Église orthodoxe
Le jeûne est une pratique courante dans l'Église catholique et orthodoxe où il est considéré comme une pratique de pénitence qui permet de prendre conscience de ses manquements et de se rapprocher de Dieu (voir Matt IV 2 Lc IV 1-4). Il consiste en une privation volontaire de nourriture : lors d'un jour jeûné le fidèle ne fait qu'un seul repas de la journée (traditionnellement à midi), qu'il peut compléter par de légères collations le matin et le soir comme du pain et de l'eau ou encore une soupe. Le jeûne est souvent associé à l'abstinence de viande, une autre pratique pénitentielle ; cependant ce sont deux pratiques différentes : certains jours sont consacrés au jeûne, d'autres à l'abstinence, et certains aux deux. Dans l'Église orthodoxe, comme dans l'Église catholique romaine, le jeûne est demandé aux personnes souhaitant recevoir lacommunion, cette pratique est appelée le jeûne eucharistique. Pour les catholiques, avant la réforme liturgique du concile Vatican II, le jeûne commençait la veille à partir de minuit jusqu'à la communion. Aujourd'hui, l'Église Catholique demande un jeûne d'une heure minimum avant de recevoir la communion. (Canon 919 du Nouveau Code de Droit canonique, 1983).
De même, pendant la période de Carême (les 40 jours qui précèdent Pâques) et de l'Avent (4 semaines précédant Noël dans l'Église catholique romaine et les 40 jours qui précèdent l'Avent dans l'Église Orthodoxe), à la suite du Christ le jeûne est fortement recommandé[réf. nécessaire][travail inédit ?], même si les obligations sont moins formelles qu'autrefois. Dans le code de droit canonique de 1983, le jeûne est obligatoire le Mercredi des Cendres et le Vendredi Saint et l'abstinence tous les vendredis de l'année en mémoire de la Passion du Christ39. Cependant il est pratiqué tous les jours du Carême chez les moines et les moniales[réf. nécessaire]. Dans les Églises orientales, le jeûne quadragésimal est beaucoup plus sévère : les fidèles se privent de toute nourriture d'origine animale (viande, lait, œufs, fromage) et les restrictions alimentaires sont plus importantes. Sous le règne de Charlemagne (viiie – ixe siècles) le premier capitulaire saxon édicté vers 785 prévoit la peine de mort pour les Saxons ne respectant pas le précepte. Hors ces cas extrêmes, qu'il convient de replacer dans leur contexte, la violation du jeûne pouvait valoir de sévères pénitences.
Le vendredi est le jour consacré à l'abstinence et par extension au jeûne dans la semaine. Quelque peu tombée en désuétude, l'abstinence du vendredi a quasiment disparu40 ; néanmoins elle reste une obligation théorique, de même que le jeûne du Mercredi des Cendres et du Vendredi Saint. Chez les premiers chrétiens c'était un jour de jeûne total : les jeûnes du mercredi et du vendredi étaient obligatoires autrefois par une loi de l'église et appelés « Jeûnes de station » ou « jeûne de none, »41 il y avait aussi le « demi-jeûne », le « Jeûne de Carême » (ou de laquadragésime) et le « Jeûne de superposition ».
http://fr.wikipedia.org/wiki/Je%C3%BBne_eucharistique
Le jeûne eucharistique est une pratique catholique consistant s'abstenir de nourriture dans le temps qui précède la participation à la messe, par respect pour la Sainte Communion qui a lieu à la fin de la messe.
Christianisme antique
Dans les évangiles synoptiques, Jésus institue l'eucharistie au cours d'un repas pascal, donc sans jeûner1.
La règle prescrivant de n'accorder la Sainte Communion qu'aux fidèles en état de jeûne est affirmée au concile de Carthage de 3971.
Pour le pape Pie XII, la différence entre l'inobservance du jeûne par le Christ instituant l'eucharistie, et l'observance du jeûne par les chrétiens s'explique par le passage de l'Ancienne à la Nouvelle Alliance1.
Code de droit canonique de 1917
Le code de droit canonique de 1917 prescrit aux prêtres et aux fidèles en bonne santé de se priver de nourriture solide et de boisson y compris l'eau depuis minuit jusqu'à la communion2.
Constitution apostolique Christus Dominus de 1953
Ce texte introduit le principe que « l'eau naturelle ne rompt pas le jeûne eucharistique », maintient la règle générale de jeûner à partir de minuit, tout en introduisant des dérogations en autorisant des boissons dans quelques cas particuliers, tels que les prêtres qui célèbrent plusieurs messes ou les ouvriers travaillant de nuit, sans que ces dérogations s'étendent à l'heure précédant la communion1.
Motu proprio Sacram Communionem de 1957
Par le motu proprio Sacram Communionem du 25 mars 1957, Pie XII fixe la durée du jeûne eucharistique à trois heures pour la nourriture solide et les boissons alcoolisées, et à une heure pour les boissons non alcoolisées, sauf l'eau3.
Les malades ont droit sans restrictions à la prise de boissons non alcoolisées et de médicaments3.
Discours de Paul VI du 24 novembre 1964
Lors du discours de clôture de la troisième session du concile Vatican II, le 24 novembre 1964, le pape Paul VI déclare qu'il accède à la demande des évêques du concile en réduisant le jeûne eucharistique à une heure pour la nourriture solide et les boissons alcoolisées, pourvu que celles-ci n'excèdent pas de petites quantités4. L'Osservatore Romano du 4 décembre 1964 précise que cette disposition est applicable immédiatement4.
Instruction Immensae Caritatis de 1973
Le 19 janvier 1973 la Congrégation des rites publie l'instruction Immensae Caritatis abaissant à un quart d'heure le jeûne eucharistique des personnes âgées et des malades5. Les personnes qui les soignent, leurs familles et amis bénéficient de la même dérogation lorsque le respect de la durée d'une heure causerait des inconvénients5.
Code de droit canonique de 1983
On lit dans le code de droit canonique publié en 1983 : « Can. 919 - § 1. Qui va recevoir la très sainte Eucharistie s'abstiendra, au moins une heure avant la sainte communion, de prendre tout aliment et boisson, à l'exception seulement de l'eau et des médicaments.§ 2. Le prêtre qui célèbre la très sainte Eucharistie deux ou trois fois le même jour peut prendre quelque chose avant la seconde ou la troisième célébration, même s'il n'y a pas le délai d'une heure ».
http://fr.wikipedia.org/wiki/Tentation_du_Christ
FALSIFICATIONS ET RAJOUTS DES ELLINèS : SUPPRESSION.
La tentation du Christ (ou les tentations, au pluriel) est un épisode de la vie de Jésus de Nazareth, telle que décrite dans les trois Évangiles synoptiques, qui relate le séjour de Jésus au désert et sa tentation par le Diable.
Les textes
L'épisode est relaté brièvement dans l'Évangile selon Marc, et avec beaucoup plus de détails dans les Évangiles selon Matthieu et selon Luc ; on suppose dans l'histoire de la rédaction que ces détails supplémentaires ont été élaborés à partir de la Source Q. La scène se situe juste après le baptême du Christ, pendant lequel l'Esprit est descendu sur lui.
Dans Mc 1 aux versets 12-13, l'Esprit pousse Jésus au désert, dans lequel il est tenté quarante jours parSatan, vivant parmi les bêtes sauvages, avec des anges qui le servent.
Dans Mt 4 aux versets 1-11, c'est le Diable qui tente Jésus, après quarante jours de jeûne. Trois suggestions lui sont faites : transformer des pierres en pain, pour calmer sa faim ; se jeter du sommet du Temple de Jérusalem (pour voir si Dieu le protège et retient sa chute) ; s'incliner et se prosterner devant le Diable pour obtenir le pouvoir sur tous les royaumes du monde. Jésus refuse à chaque fois en citant un passage du livre du Deutéronome. Le Diable le quitte alors et des anges viennent le servir.
Dans Lc 4 aux versets 1-13, le récit est très similaire à celui de Matthieu, sauf que la deuxième et la troisième tentations sont interverties, peut-être pour terminer le récit à Jérusalem, ville où Jésus sera crucifié. Luc ajoute 4:13 "Après l'avoir tenté de toutes ces manières, le diable s'éloigna de lui jusqu'à un moment favorable." (Louis Segond 1910)
Dans l'évangile de Jean
Les tentations dans le désert comptent parmi les plus importantes omissions dans l'évangile de Jean. Néanmoins, certains auteurs ont détecté des relations entre les trois tentations de Matthieu et des incitations dans le quatrième évangile1. Par exemple:
- Tentation de transformer les pierres en pain → Jean 6:26,31 incitation à faire manne dans le désert.
- Tentation de sauter en bas du temple → Jean 2:18 incitation à effectuer un signe messianique dans le temple.
- La tentation de prendre les royaumes du monde → Jean 6.15 "Et Jésus, sachant qu'ils allaient venir l'enlever pour le faire roi, se retira de nouveau sur la montagne, lui seul."
Précédents dans l'Ancien Testament et le judaïsme
Les premiers lecteurs de Matthieu seraient familiers déjà avec une confrontation entre un autre "Jésus" et un autre "diable", dans la version grecque de Zacharie 3.
- Zacharie 3:1 "Il me fit voir Josué (Jésus en grec), le souverain sacrificateur, debout devant l'ange de l'Eternel, et Satan (le diable en grec) qui se tenait à sa droite pour l'accuser."
Cette vision a été compris comme symbolique, probablement en relation avec le conflit dans Néhémie 13.
- Zacharie 3:8 "Ecoute donc, Josué, souverain sacrificateur, toi et tes compagnons qui sont assis devant toi! car ce sont des hommes qui serviront de signes."
Les rabbins avaient attendu que le Messie apparaîtrait sur le toit du temple2.
Symbolique
Les quarante jours de jeûne dans le désert, après un baptême dans l'eau, rappellent en parallèle le livre de l'Exode, dans lequel les Hébreux voyagent pendant quarante ans dans le désert après avoir traversé la mer Rouge. Le nombre de quarante jours est également la durée du Déluge pendant lequel l'arche de Noé flotte sur les eaux, dans le livre de la Genèse.
Analyses
Dès le iie siècle, Irénée de Lyon analyse dans son traité Contre les hérésies3 la résistance du Christ à la tentation comme la victoire finale contre le Diable qui avait provoqué la chute d'Adam. Le Christ peut donc être considéré comme le nouvel Adam (« ...de même que la mort avait triomphé de nous par un homme, de même à notre tour nous avons triomphé de la mort par un homme. »).
De nombreux commentaires ont été faits par les théologiens des premiers siècles (Origène, Augustin d'Hippone...), dont beaucoup sont cités par Thomas d'Aquin dans sa Somme théologique4, vers 1270 : il y propose des réponses aux questions de la raison de la tentation, du lieu et du moment, du genre et de l'ordre des tentations.
Chez Jean Calvin, au xvie siècle, ce passage des Évangiles est l'occasion de souligner que les tentations, même si elles ne sont pas suscitées directement par Dieu, sont voulues par lui5 (c'est d'ailleurs ce que disaient déjà Thomas d'Aquin et Irénée de Lyon).
Dans le Catéchisme de l'Église catholique6 de 1992, l'accent est remis sur le parallèle entre la tentation du Christ, celles d'Adam et des Hébreux dans le désert. Par obéissance à Dieu son Père, Jésus, nouvel Adam, résiste à Satan. Cette victoire anticipe sa passion.
De nombreux auteurs anglo-saxons, principalement unitariens (John Simpson 1804, John Epps 1842), rationalistes (Isaac Newton, Thomas Hobbes 1651) ou latitudinaristes (Arthur Sykes 1737, Hugh Farmer 1761) ont vu les trois tentations comme une parabole, ayant une origine soit de Matthieu ou de Jésus lui-même, pour décrire les quarante jours de préparation avant son ministère au sein du peuple.
http://vincent.detarle.perso.sfr.fr/catho/tenebres.html
Les ténèbres seront intenses, certes, mais la joie vient avec l’aube
Messages du Ciel - Journal de Peliatino : 12 Août 2013
Rêve : J’ai rêvé qu’un gouffre ["sinkhole" : un "trou d'évier", cf. par exemple http://www.wikistrike.com/ ] engloutissait plusieurs bâtiments d'une petite ville.Les gens ne prenaient pas cela au sérieux pour autant. Une dame continuait de se maquiller au milieu des décombres et du danger. D’autres approchaient avec curiosité, ignorant le danger. Je crois que ce rêve décrit l'hébétude de beaucoup de gens et leur refus de tenir compte des signes des temps.
Michée 1, 3-4 : Oui, voici, IHVH-Adonaï sort de son lieu ; il descend, il foule les tertres de la terre. Les montagnes fondent sous lui, les vallées se fendent, comme la cire en face du feu, comme des eaux qui giclent sur une pente.
Le Père : « Enfants, ne voyez-vous pas ? Ne pouvez-vous pas comprendre ?
Revenez à moi dans le jeûne et les larmes ! Il y a tant à venir et qui est déjà là.
Comme vous êtes aveugles et lents à croire ! Jeûnez de votre péché car c’est ce qui me donnera gloire. »
« Entrez dans ma sainte volonté. Acceptez ce qui vous arrive et priez pour les âmes ! J’ai soif ! Vivez dans ma volonté, chers enfants. C’est le seul chemin vers la joie. Les ténèbres seront intenses, certes, mais la joie vient avec l’aube. Que la joie soit votre aube. Enfants, je suis proche ! »
Pelianito : Père Céleste, ouvre nos yeux et nos cœurs. Que votre sainte volonté nous remplisse de joie et du désir de ne vivre qu'en elle. Accorde-nous ta grâce, Seigneur, à travers Jésus, Marie et l'intercession de la Gloriana.