LISTE ROIS VAINCUS PAR MOÏSE ET YEHOCHOUA! DOR! BACHAN CAPHTOR ! REPHAÏM ANAQUIM ...
12: 1 VOICI LES ROIS DU PAYS QUE les enfants d'Israïl battirent et dont ils occupèrent le pays du côté oriental du Jourdain, depuis le torrent d'Arnon jusqu'au mont Hermon, et toute l'Araba à l'orient (du Jourdain) :
2 Sihon, rois des Amorrhéens, résidant à Hèchbon. Sa domination s'étendait depuis AROËR, qui est sur le bord u torrent d'Arnon, et au milieu de la vallée, sur la moitié de Guilead, jusqu'au torrent du Yabboq, frontière des enfants d'Ammon; 3 sur l'Araba, jusqu'au bord oriental de la mer de Kinrot, et jusqu'au bord oriental de la mer de l'Araba, la mer Salée, vers Bet-Hayechimot; et du côté du midi au pied des pentes du (mont) PISGA.
4 (Puis) sur le territoire d'OG, roi de Bachan, d'entre les restes des REPHAÏM résidant à Achtarot et à Edréï. 5 Sa domination s'étendait sur la montagne d'Hermon, sur Salka jusqu'à la frontière des Guechourites et des Maakatites, et sur la moitié de Guilead, jusqu'au territoire de Sihon, roi de Hèchbon.
6 Moïse, serviteur de Yahweh, et les enfants d'Israïl les battirent; et Moïse, serviteur de Yahweh, donna leur pays en propriété aux Rubénites, aux Gadites et à la moitié de la tribu de Manassé.
7 VOICI les rois que YEHOCHOUA et les enfants d'Israïl battirent du côté occidental du Jourdain, depuis BAAL-GAD, dans la vallée du Liban, jusqu'à la montagne chauve qui s'élève vers Séïr.
Yehochoua DONNA (CE PAYS) EN PROPRIéTé aux tribus d'Israïl selon leur répartition, 8 dans LA MONTAGNE, dans le bas pays, sur les coteaux, dans le désert et dans le Négueb : (pays des) Hittites, des Amorrhéens, des Chananéens, des Perizzites, des Hiwwites et des Jébuséens.
(CE SONT) :: le roi de JERICHO, un;
10 le roi de JERUSALEM, un;
le roi d'HEBRON, un; 11 le roi de YARMOUT, un; le roi de LAKICH, un; 12 le roi d'EGLON, un;
le roi de GUEZER, un; 13 le roi de DEBIR, un; le roi de GUEDER, un; 14 le roi de HORMA, un;
le roi de ARAD, un; 15 le roi de LIBNA, un; 16 le roi d'ODOULLAM, un; le roi de MAQQEDA, un;
le roi de BETHIL, un; 17 le roi de TAPPOUAH, un; le roi de HEPHER, un;
le roi d'APEQ, 18 qui est dans SARON; le roi de MADON, un;
19 le roi de HASOR, un; 20 le roi d'ACKCHAPH, un; le roi de TAANAK, un; 22 le roi de MEGUIDDO, un;
le roi de QEDECH, un; le roi de YOQNEAM, AU CARMEL, un;
23 le roi de DOR, sur les hauteurs de DOR, un; le roi des nations de GALILEE, un; le roi de TIRSA, un.
24 EN TOUT, TRENTE ET UN ROIS.
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http://fr.wikipedia.org/wiki/Civilisation_myc%C3%A9nienne
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Le bas-relief surmontant la « Porte des Lions » deMycènes, HR I (vers 1550-1500).
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Un des masques d'or du « cercle A » de Mycènes, HR I (vers 1550-1500),Musée national archéologique d'Athènes.
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Tête de plâtre peinte, un des rares exemples de plastique monumentale mycénienne, Musée national archéologique d'Athènes.
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Figurine en terre cuite en forme de psi, HR III B 1 (vers 1280), provenant deTirynthe, Musée du Louvre.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Ellam_Onru
Ellam Onru
Ellam Onru (Tout est Un) est un court bréviaire de philosophie non-dualiste (Advaita Vedanta) écrit en Tamoul au XIXème siècle par un auteur anonyme qui doit sa notoriété au fait qu'il était conseillé par Ramana Maharshi à ses visiteurs occidentaux en raison de sa qualité littéraire et de son accessibilité 1,2. Il comporte six sections:
- Unité
- Toi
- Dieu
- Paix
- Action
- Ego
Il se termine par La Vérité est "je-Suis-Brahman" , c'est-à-dire le Soi.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Sphinx_de_Gizeh
Sphinx de Gizeh
Sphinx de Gizeh | ||
Site d'Égypte antique | ||
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Le visage du sphinx de Gizeh. |
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Localisation | ||
Coordonnées | ||
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Le sphinx1 de Gizeh (appelé par les Arabes أبو الهول Abou al-Hôl, « père de la terreur ») est la statue thérianthrope qui se dresse devant les grandes pyramides du plateau de Gizeh, en amont du delta du Nil, dans la Basse-Égypte. Sculpture monumentale monolithique la plus grande du monde2 (73,5 mètres de long, 14 mètres de large et 20,22 mètres de haut), elle représente un sphinx couchant.
Description
D'une longueur de 73,5 mètres, d'une hauteur de 20,22 mètres, d'une largeur maximale de14 mètres (hauteur de la tête 5,20 m ; largeur du visage : 4,15 m ; largeur de la bouche seule :2,32 m ; hauteur de l'oreille : 1,40 m ; hauteur du nez : 1,70 m) et d'un poids d'environ20 000 tonnes3, le sphinx de Gizeh est une sculpture monumentale taillée dans un promontoire naturel dans le roc. Sa tête est taillée dans un piton de calcaire dur et gris de la plaque Mokattam4 sur laquelle sont construites les trois pyramides, un piton déjà vénéré aux temps pré-pharaoniques5,6. Il se trouve en avant de la grande carrière qui a fourni nombre de blocs à la pyramide. Sa tête est tournée vers le levant.
Le corps du sphinx, sculpté dans la couche sous-jacente de calcaire plus tendre (il est plus précisément constitué de couches tendres et de couches relativement plus dures, d'où les marques d'érosion différentielle7), pourrait être celui d'un lion couché, et la tête celle d'un souverain portant le némès, le front orné d'un uræus (on distingue encore l'endroit du front où celui-ci était fixé)8. La transition entre la tête et le corps est masquée par la coiffure. Les côtés de son corps sont flanqués de quatre piédestaux (supports en maçonnerie de construction tardive par rapport à celle du sphinx) découverts lors du désensablement par Auguste Mariette vers 1850, l'égyptologue français mettant au jour à cette occasion les fragments d'une statue d’Osiris qui devait être installée sur le piédestal principal9.
Le sphinx vu du côté sud, flanqué d'un piédestal qui supportait une statue d’Osiris9.
« Anubis sur ses secrets », coffre du roi Toutânkhamon
http://fr.wikipedia.org/wiki/Kh%C3%A9phren
Khéphren est le nom grec du pharaon de l'Ancien Empire égyptien (IVe dynastie) Khafrê. Sur le papyrus de Turin, il est appelé Khâef Rê. On situe son règne aux alentours de -2520 / -2518 à -2494 / -24931.
Kaouâb, le prince héritier, meurt avant son frère et c'est Khéphren, le demi-frère de Djédefrê qui prend la succession. Il conserve le titre de fils de Rê en développant l'affirmation de l'importance d'Atoum face àRê, et laissera derrière lui le grand Sphinx de Gizeh non loin du temple bas de son complexe funéraire.
Il fit construire la seconde grande pyramide du plateau de Gizeh.
Statue de Khéphren, musée du Caire
http://fr.wikipedia.org/wiki/N%C3%A9m%C3%A8s
Némès
Le Némès est la coiffe la plus emblématique des pharaons qui la porteront de l'Ancien Empire jusqu'à lapériode ptolémaïque.
Il est connu du grand public par ses nombreuses représentations et notamment le masque funéraire en or du pharaon Toutânkhamon ou la tête du sphinx du plateau de Gizeh.
Némès
Le Némès est la coiffe la plus emblématique des pharaons qui la porteront de l'Ancien Empire jusqu'à lapériode ptolémaïque.
Il est connu du grand public par ses nombreuses représentations et notamment le masque funéraire en or du pharaon Toutânkhamon ou la tête du sphinx du plateau de Gizeh.
http://fr.wikipedia.org/wiki/N%C3%A9khbet
Nekhbet1 est la déesse protectrice de la Haute-Égypte, du pharaon et de la royauté du Sud. AuNouvel Empire, elle va devenir la protectrice des accouchements. Les Grecs, avaient identifié la déesse à leur déesse des accouchements, Eileithyia (ou Ilithyia) et ils appelèrent la cité deNekheb (ou El Kab), où était pratiqué son culte, Eileithyaspolis. Nekhbet eut les épithètes : « Dame de Nekheb », « La blanche de Nekheb », « La blanche couronne », « Mère du Soleil », « Fille de Rê », « Dame des ouâdis du désert » etc...
Dans son rôle de protectrice du pharaon, elle est associée à la déesse cobra Ouadjet symbole de Basse-Égypte. Elles forment donc ensemble le symbole redondant des deux terres (le nord et le sud) réunies au nom de pharaon. Elles étaient toutes deux présentes sur le diadème du roi. Nekhbet était alors représentée sous la forme d'une tête de vautour. Lors qu'elle était représentée sur les parois des temples ou des tombeaux, elle apparaissait sous les traits d'une femme portant la couronne blanche de Haute-Égypte, ou sous la forme d'un vautour étendant ses ailes protectrices.
Toujours aux côtés de la déesse cobra Ouadjet, elles sont « les deux maîtresses » (ou « les deux dames ») introduisant le nom de Nebty, deuxième nom de la titulature des pharaons.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Gezer
Gezer (גזר) (prononcer : « Guézer ») est une ville de l'Israël antique. Les chercheurs estiment que Gezer doit être identifiée à Tel Guezer (Tell el-Jezer ou Abu Shusheh) en Israël, à mi-chemin environ sur la route entre Jérusalem et Jaffa.
Identification
Gezer se situait à la limite nord de la Shéphélah, environ à 30 km à l'ouest de Jérusalem. C'était la jonction entre la Route de la côte (d'importance internationale) et la route menant à Jérusalem en suivant la vallée d'Ayalon. Depuis Gezer, on pouvait donc contrôler visuellement la plaine côtière, ce qui en faisait un site d'importance militaire stratégique.
À l'époque biblique, à partir du xe siècle av. J.-C., Gezer compte parmi les villes les plus importantes de la Terre d'Israël du fait de sa situation stratégique, au carrefour des routes conduisant de la côte méditerranéenne à Jérusalem.
L'approvisionnement de la ville se fait alors grâce à la présence de 2 sources; Eïn-Yarda à 800m à l'est du Tel et Eïn-Bouss au sud-est. Gezer est ainsi cerné de terres particulièrement fertiles. On accède alors à la ville installée sur Gezer par le sud, d'où la présence de fortifications plus importantes dans cette partie-ci de la ville.
À l'époque des Croisés, Gezer est rebaptisé « mont Gizar » et devient le cadre d'un ultime combat entre Chrétiens et les armées musulmanes de Saladin en 1177.
Mentions dans la Bible
Gezer est mentionnée de nombreuses fois dans les écrits bibliques, tel que lors de la conquête du pays d'Israël sous la direction de Josué (Jos 10,33) et dans la liste des rois dupays de Canaan soumis durant cette même période (Jos 12,12). Gezer fait partie alors du territoire accordé à la tribu d'Éphraïm (Jos 16,3).
La ville fut donnée aux Lévites (Jos 21,21). La ville est le cadre des batailles durant lesquelles s'affronteront Philistins et soldats du roi David, dont il est dit avoir brisé le joug "depuis Geba jusqu'à Gezer" (1 Chr 20,4). C'est là que s'est arrêtée sa poursuite des Philistins (2 Sam 5,25 ;1 Chr 14,16) après la bataille de Baal-Perazim.
Salomon fortifiera la ville en même temps que celles de Hatzor, Megiddo et Jérusalem -1 R 9,15-, fortifications dont on retrouvera la porte principale de la ville sur le site archéologique. En 925 av. J.-C. la ville est en partie détruite lors de la campagne du pharaon Sheshonq Ier en Terre d'Israël, époque à partir de laquelle Gezer perdra de son influence et de son importance.
Lors de la révolte des Maccabées, Gezer est de nouveau et à plusieurs reprises mentionnées dans les livres des Macchabées; Judas Maccabée, après sa victoire à Emmaüs, poursuivra ce qui reste de l'armée séleucide jusqu'à Gezer1. Puis, à la suite de la victoire de Bacchidès sur Judas Maccabée, Simon son frère reconquerra Gezer, y construira son palais2 et y nommera son fils, Jean Hyrcan Ier, chef des armées.
Dans la civilisation égyptienne
Gezer est mentionnée dans les écrits égyptiens, comme ceux de Thoutmôsis III ou dans les lettres d'Amarna ; le pharaon Merenptah se vante aussi d'avoir "saisi Gezer".
Mentions dans la Bible
Gezer est mentionnée de nombreuses fois dans les écrits bibliques, tel que lors de la conquête du pays d'Israël sous la direction de Josué (Jos 10,33) et dans la liste des rois dupays de Canaan soumis durant cette même période (Jos 12,12). Gezer fait partie alors du territoire accordé à la tribu d'Éphraïm (Jos 16,3).
La ville fut donnée aux Lévites (Jos 21,21). La ville est le cadre des batailles durant lesquelles s'affronteront Philistins et soldats du roi David, dont il est dit avoir brisé le joug "depuis Geba jusqu'à Gezer" (1 Chr 20,4). C'est là que s'est arrêtée sa poursuite des Philistins (2 Sam 5,25 ;1 Chr 14,16) après la bataille de Baal-Perazim.
Après cela, le Pharaon (Siamon) d'Égypte la conquerrait et en ferait la dot de l'une des épouses de Salomon (1 R 9,16). Salomon fortifiera la ville en même temps que celles de Hatzor, Megiddo et Jérusalem -1 R 9,15-, fortifications dont on retrouvera la porte principale de la ville sur le site archéologique. En 925 av. J.-C. la ville est en partie détruite lors de la campagne du pharaon Sheshonq Ier en Terre d'Israël, époque à partir de laquelle Gezer perdra de son influence et de son importance.
Lors de la révolte des Maccabées, Gezer est de nouveau et à plusieurs reprises mentionnées dans les livres des Macchabées; Judas Maccabée, après sa victoire à Emmaüs, poursuivra ce qui reste de l'armée séleucide jusqu'à Gezer1. Puis, à la suite de la victoire de Bacchidès sur Judas Maccabée, Simon son frère reconquerra Gezer, y construira son palais2 et y nommera son fils, Jean Hyrcan Ier, chef des armées.
Dans la civilisation égyptienne
Gezer est mentionnée dans les écrits égyptiens, comme ceux de Thoutmôsis III ou dans les lettres d'Amarna ; le pharaon Merenptah se vante aussi d'avoir "saisi Gezer".
Particularités
L'une des découvertes les plus intéressantes de ces fouilles est le dit calendrier de Gezer, mis en valeur par Macalister.
Il s'agit d'une plaque de pierre sur laquelle ont été gravées, en hébreu ancien, 7 lignes comprenant les germes des 12 mois de l'année ainsi que les activités agricoles correspondantes. La plaque est datée du xe siècle av. J.-C. et semblerait être, soit un exercice de mémoire pour enfant, soit une liste d'impôts pour les agriculteurs, soit encore un chant folklorique ou enfantin donnant la liste des mois de l'année en rapport aux saisons et à l'agriculture. C'est en tout cas une source intéressante d'étude de la langue et de l'écriture du Moyen-Orient ancien.
Comme autres découvertes intéressantes, on peut mentionner :
- 10 mégalithes monumentaux qui délimitaient peut-être un haut-lieu cananéen
- 9 pierres garnies d'inscription, qui servaient de délimitation et qui ont permis d'identifier positivement le site
- 6 portes à chambre semblables à celles trouvées à Hazor et Megiddo.
GIZEH PYRAMIDES
http://fr.wikipedia.org/wiki/Myk%C3%A9rinos
Mykérinos
Mykérinos est le nom grec du souverain Menkaourê de l'Ancien Empire égyptien (IVe dynastie). Il aurait régné approximativement de -2490 à-24731 et aurait succédé à Khéphren2 et précédé Chepseskaf.
Le nom de Mykérinos, comme celui de son père Khéphren et celui de son grand-père Khéops, reste attaché à l'édification d'une des trois grandes pyramides de Gizeh.
Nous ignorons presque tout des événements qui marquent son règne.
Le papyrus de Turin indique qu'il aurait régné dix-huit années avant de céder le trône à son fils Chepseskaf, le dernier roi de la IVe dynastie.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Myk%C3%A9rinos
La pyramide de Mykérinos est la plus petite des trois grandes pyramides du plateau de Gizeh. Elle s'élève à la hauteur de 63 mètres à l'extrémité Sud du plateau, ne représentant qu'un dixième du volume de la plus grande, la pyramide de Khéops. Dominant un complexe composé de deux temples reliés par une chaussée et de trois pyramides satellites, elle est de type àfaces lisses et fut élevée sous la IVe dynastie durant l'Ancien Empire pour le pharaon Mykérinos. De nombreux signes d'inachèvement montrent que la mort du souverain intervint au cours de l'édification du monument.
Le complexe funéraire
Le complexe funéraire de Mykérinos est le troisième et dernier grand chantier royal édifié àGizeh à la IVe dynastie.
L'ensemble présente un plan régulier alignant les différents éléments constitutifs du complexe pyramidal égyptien avec le temple du culte du roi défunt situé contre la face est de la pyramide, relié à un temple bas ou temple de la vallée, par une longue chaussée de plus de six cents mètres de longueur. Cette chaussée autrefois couverte est ici parfaitement droite au contraire des exemples des chaussées des pyramides de Khéops et de Khéphren qui présentent elles une déviation des axes principaux de leurs complexes monumentaux.
Tout autour du monument royal de Mykérinos se trouvent des nécropoles et d'autres tombes princières ou de reines venant compléter et accompagner la tombe du roi dont le culte fut maintenu tout au long de l'Ancien Empire.
Outre les trois pyramides de reines bâties sur le flanc sud de la pyramide du roi, on trouve au sud-est du temple funéraire une nécropole des prêtres du culte du roi, installée dans la carrière qui servit pour la construction des monuments. Une seconde nécropole est installée au nord de la chaussée dominée par la tombe de la reine Khentkaous Ire, parente de Mykérinos, qui est parfois qualifiée de Quatrième Pyramide de Gizeh. Devant ce tombeau, une chaussée jouxtée par une ville de prêtres est reliée au port débarcadère situé en contrebas du temple de la vallée de Mykérinos.
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DOR
http://fr.wikipedia.org/wiki/Doriens
Les Doriens (en grec ancien : Δωριεῖς, Dōrieis, singulier Δωριεύς, Dōrieus) étaient l'une des quatre ethnēmajeures de la Grèce antique que les historiens de l'époque classique reconnaissaient comme constituant leur propre peuple1, les autres peuples étant les Achéens, les Ioniens et les Éoliens. Le terme grec ethnos a ici le sens de groupe ethnique 2. Hérodote utilisait ce mot pour les désigner. Ils sont cependant le plus souvent appelés simplement les Doriens dans des textes littéraires aussi anciens quel'Odyssée3, qui les localisait à l'époque dans l'île de Crète.
Ils étaient très diversifiés dans leur vie et leur organisation sociale, depuis la cité commerciale de Corintheconnue pour son style ornementé dans l'art et l'architecture, jusqu'à l'état militaire isolationniste de Sparte. Pourtant, tous les Hellènes savaient quelles villes étaient doriennes et lesquelles ne l'étaient pas. À la guerre, les États doriens pouvaient généralement compter sur l'assistance des autres États doriens. Les Doriens se distinguaient des autres Grecs par leur dialecte et par des caractéristiques sociales et historiques.
Au ve siècle av. J.-C., Doriens et Ioniens étaient politiquement les deux plus importants groupes ethniques. Leur confrontation a abouti à la Guerre du Péloponnèse. La mesure dans laquelle les Hellènes duve siècle av. J.-C. se sont considérés comme Doriens ou Ioniens a été l'objet de controverse.
Origine des Doriens
Les opinions quant à leur lieu d'origine sont diverses. Une théorie largement admise dans les temps anciens est qu'ils provenaient des régions montagneuses du nord et du nord-est de la Grèce, en Macédoine et en Épire, d'où, à la suite d'obscures circonstances, ils se seraient déplacés vers le Péloponnèse, les îles Égées, la Grande-Grèce, Lapithos et la Crète. La mythologie grecque leur donne une origine grecque, et leur ancêtre fondateur éponyme Doros est le fils d'Hellen, le patriarche mythologique des Hellènes.
Les Grecs classiques l'appelaient « le retour des Héraclides », les historiens modernes le nomment l'invasion dorienne.
Répartition post-migratoire des Doriens
Bien que la plupart des envahisseurs Doriens se soient installés dans le Péloponnèse, ils ont aussi colonisé Rhodes et la Sicile (aujourd'hui le sud de l'Italie). En Asie Mineure on trouve (six grandes cités doriennes désignées comme l'Hexapole dorienne : Halicarnasse, Cnide, Cos, Lindos, Camiros et Ialyssos sur l'île de Rhodes. Ces six cités deviendront plus tard rivales des cités ioniennes d'Asie Mineure. Les Doriens ont également envahi la Crète. Ces traditions des origines demeurent fortes dans la période classique : au ve siècle av. J.-C., Thucydide disait que la guerre du Péloponnèse était en partie un conflit ionien contre les Doriens et il a également rapporté que les Syracusains en Sicile étaient d'ascendance dorienne7. D'autres colonies doriennes, fondées depuis Corinthe, Mégare et les îles doriennes, ponctuaient la côte sud de la Sicile de Syracuse à Sélinonte.
Homère
L'Odyssée fait une référence aux Doriens :
« La Crète est une terre qui s'élève au milieu de la sombre mer, belle et fertile, où habitent d'innombrables hommes et où il y a quatre-vingt-dix villes. On y parle des langages différents, et on y trouve des Achéens, de magnanimes Crétois indigènes, des Kydoniens, trois tribus de Doriens et les divins Pélasges15. »
Le texte biblique
« 27 Voici ce qu'ils [les chefs des douze tribus envoyés par Moïse en mission de repérage] racontèrent à Moïse : « Nous sommes allés dans le pays où tu nous as envoyés. À la vérité, c'est un pays où coulent le lait et le miel, et en voici les fruits.
28 Mais le peuple qui habite ce pays est puissant, les villes sont fortifiées, très grandes ; nous y avons vu des enfants d'Anak.
29 Les Amalécites habitent la contrée du midi ; les Héthiens, les Jébuséens et les Amoréens habitent la montagne ; et lesCananéens habitent près de la mer et le long du Jourdain. »
30 Caleb fit taire le peuple, qui murmurait contre Moïse. Il dit : « Montons, emparons-nous du pays, nous y serons vainqueurs ! »
31 Mais les hommes qui y étaient allés avec lui dirent : « Nous ne pouvons pas monter contre ce peuple, car il est plus fort que nous. »
32 Et ils décrièrent devant les enfants d'Israël le pays qu'ils avaient exploré. Ils dirent : « Le pays que nous avons parcouru, pour l'explorer, est un pays qui dévore ses habitants ; tous ceux que nous y avons vus sont des hommes d'une haute taille ;
33 et nous y avons vu les nephilim, enfants d'Anak, de la race des nephilim : nous étions à nos yeux et aux leurs comme des sauterelles. » »
— Nombres, 13, 27-33.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Nephilim
DEUTERONOME 2: 4
Donne cet ordre au peuple : Vous allez traverser le territoire de vos frères, les enfants d'Esaü, qui habitent en Séïr. Ils auront peur de vous; mais prenez garde 5 d'entrer en lutte avec eux, CAR JE NE VOUS DONNERAI RIEN DANS LEUR PAYS, pas même ce que peut fouler la plante du pied : CAR J'AI DONNé à ESAÜ la montagne de Séïr en propriété. 6 Vous leur achèterez à prix d'argent la nourriture que vous mangerez, et ovus traiterez aussi avec eux à prix d'argent pour l'eau que vous boirez.
7 Car Yahweh ton Ilohim t'a béni dans tout le travail de tes mains, IL a connu ta marche à travers ce grand désert; voilà quarante ans que Yahweh, ton Ilohim, est avec toi : tu n'as manqué de rein".
8 Nous avons donc traversé le pays de nos frères, les enfants d'ESAÜ, qui habitent en SEÏR, en venant de l'Araba, d'Elat et d'Esyon-Guéber; tournant encore, nous avons pris la direction du désert de MOAB.
9 Yahweh me dit : "N'INQUIèTE PAS MOAB et n'engage pas de combat avec lui, CAR JE NE TE DONNERAI PAS DE POSSESSION DANS SON PAYS : CAR c'est aux enfants de LOT que J'AI DONNé AR en propriété.
-10 Les EMIM Y HABITAIENT AUPARAVANT, PEUPLE GRAND, NOMBREUX ET DE HAUTE TAILLE, COMME LES ANAQIM. 11 EUX AUSSI SONT TENUS POUR DES REPHAÏM, TOUT COMME LES ANAQUIM; MAIS LES MOABITES LES APPELLENT EMIM.
12 EN SEÏR habitaient aussi JADIS LES HORIM; mais les enfants d'ESAÜ les chassèrent et, les ayant exterminés, ils s'établirent à leur place, COMME L'A FAIT ISRAÏL POUR LE PAYS QU'IL POSSèDE, QUE YAHWEH LUI A DONNé.-
13 Maintenant, en marche et passez le torrent de Zared" !
1è Yahweh me parla en ces termes : 18 "Tu vas passer aujourd'hui la frontière de MOAB, AR, 19 et tu t'avanceras vers les enfants d'AMMON. Ne les inquiète pas et n'entre pas en lutte avec eux, CAR JE NE TE DONNERAI PAS DE POSSESSION DANS LE PAYS des enfants d'AMMON: CAR C'EST AUX ENFANTS DE LOT QUE JE L'AI DONNé EN POSSESSION.
20 On regardait aussi CE PAYS COMME UN PAYS DE REPHAÏM, DES REPHAÏM Y HABITAIENT AUPARAVANT, et les AMMONITES LES APPELAIENT ZAMZOUMMIM : 21 PEUPLE GRAND, NOMBREUX ET DE HAUTE TAILLE, COMME LES ANAQUIM; YAHWEH LES DéTRUISIT DEVANT LES AMMONITES, qui les chassèrent et s'établirent à LEUR PLACE.
22 C'est ainsi que fit (Yahweh) pour les enfants d'ESAÜ qui habitent en SEÏR, lorsqu'IL DéTRUISIT DEVANT EUX LES HORIM; les ayant chassés, ils s'établirent à leur place jusqu'à ce jour.
23 Les HIWWITES, QUI HABITAIENT DANS DES VILLAGES JUSQU'à GAZA, FURENT DéTRUITS PAR LES CAPHTORIM, venus de CAPHTOR, QUI S'éTABLIRENT à LEUR PLACE.
24 - EN MARCHE, partez et passez le torrent de l'Arnon ! VOICI que JE TE LIVRE SIHON, roi de Hèchbon, Amorrhéen, ainsi que son pays.
(bas de page : 20-23. CAPHTOR EST LA CRETE.)
Commence à t'en emparer, engage le combat avec lui! Dès aujourd'hui JE COMMENCE à inspirer à ton endroit frayeur et crainte aux peuples (qui sont) sous les cieux, en sorte que, entendant ta renommée, ils trembleront et seront dans l'angoisse à ton endroit".
3 : 1 Nous nous sommes alors avancés dans la direction de BACHAN, ET OG, roi de Bachan, se mit en campagne à notre rencontre, avec tout son peuple; pour la bataille d'EDREÏ.
2 Yahweh me dit : "Ne le crains pas, car JE TE L'AI LIVRé, LUI ET TOUT SON PEUPLE, ET SON PAYS; tu le traiteras comme tu as traité Sihon, ROI DES AMORRHéENS, qui habitait à HECHBON".
3 Et Yahweh, notre Ilohim, NOUS LIVRA AUSSI OG, ROI DE BACHAN, avec tout son peuple; nous le battîmes jusqu'à ce qu'il ne lui restât plus de SURVIVANT.
4 NOUS PRÎMES ALORS TOUTES SES VILLES, et il n'y est pas une cité que nous ne leur prîmes : SOIXANTE VILLES, TOUTE LA RéGION D'ARGOB, LE ROYAUME D'OG EN BACHAN.
5 TOUTES CES VILLES étaient fortifiées, AVEC DE HAUTES MURAILLES, des portes et des barres; sans compter les villes ouvertes, en très grand nombre.
6 7 Mais nous pillâmes pour nous tout le bétail et le butin des villes.
8 DANS CES TEMPS-Là DONC, nous prîmes aux deux rois des AMORRHéENS LE PAYS QUI EST AU-DELà DU JOURDAIN, depuis le torrent d'Arnon jusqu'à la montagne d'Hermon - 9 Les SIDONIENS APPELLENT L'HERMON SIRYON, MAIS LES AMORRHéENS SENIR-, 10 toutes les villes de la plaine, TOUT GUILEAD, ET TOUT BACHAN, jusqu'à Salka et Edréï, VILLES DU ROYAUME D'OG EN BACHAN.
11 CAR OG, ROI DE BACHAN, était resté SEUL DE LA RACE DES REPHAÏM.
Voici, son lit, un lit en fer, n'est-il pas à RABBAT, des enfants d'Ammon? Sa longueur est de neuf coudées, et sa largeur de quatre coudées, en coudées d'homme.
12 Nous prîmes alors possession DE CE PAYS. Je donnai aux Rubénites et aux Gadites depuis AROËR dans la vallée de l'ARNON, ainsi que la moitié de la montagne de GUILEAD avec ses villes.
13 Je donnai à la demi-tribu de Manassé le reste de GUILEAD et toute la partie de BACHAN, LE ROYAUME D'OG.
- TOUTE LA CONTRéE D'ARGOB, AVEC TOUT BACHAN, EST APPELéE LE PAYS DES REPHAÏM.
14 YAÏR, fils de Manassé, prit toute la contrée d'Argob jusqu'à la frontière des GUECHOURITES ET DES MAAKATITES, ET IL DONNA SON NOM AUX BOURGS DE BACHAN, APPELéS BOURGS DE YAÏR, jusqu'à ce jour.
15 - Je donnai Guilead à Makir.
16 Aux Rubénites et aux Gadites je donnai une partie de GUILEAD et (le pays) jusqu'au torrent de l'Arnon, le milieu de la vallée servant de limite, et jusqu'au torrent de YABBOQ, frontière des enfants d'AMMON, ainsi que l'ARABA, 17 avec le JOURDAIN, pour limite, depuis KINNERET jusqu'à la mer de l'ARABA, la MER SALéE, AU PIED DES PENTES DU PISGA, à L'ORIENT.