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TAXER LES ROBOTS INDUSTRIELS QUI REMPLACENT L'HOMME ???RAREFACTION BRUTALE DU TRAVAIL DANS NOS SOCIETES??

http://www.politiques-publiques.com/Liberer-l-homme-du-travail-c-est.html#.UQkoJb92Ru4

Libérer l’homme du travail, c’est imposer les machines...et taxer les robots

Publié le 24/09/2012

 

Par Jean-Philippe Branchi

Nous vivons dans une société globale malade et dont les urgentistes sont l’économiste et le politicien… une société globale devenue malade de sa belle ouvrage à se libérer de son état de nature…, à libérer l’Homme des troncatures du labeur autant qu’à se libérer des limites de ses Etats…

Mais comment en est-on arrivé à une telle absurdité de ce cheminement qui se devait de conduire la communauté de l’Homme de sa soumission aux dures lois de la Nature… à la libération de ses états de nature ?

h bien… parce que la maladie de cette société globale est un marché juteux qui profite aux urgentistes… et surtout, parce que nous nous sommes emmêlés les fils et avons tiré le fil de trame pour le fil de chaîne et le fil de chaîne pour le fil de trame… Au final, nous en sommes venus à tisser une superbe toile sociétale tout en contrepoint des réalités réelles de la vie sociale… Et, pour y ajouter de la véracité crédible, nous y avons teint les jurements de l’horreur d’un mode de vie machinée sur les conjurations de la peur et de la mort, nous y avons teint les psychoses du contrôle numérique par la maîtrise systématique…, la folie illusoire de la permanence…, nous y avons teint le phantasme de l’éternité…, l’obsession du réussir-dans-la-vie soit-ce au prix de rater sa vie… Puis…, non contents de nous être suffisamment distancié du réel de la Vie… non contents du tissage des métiers de l’illusion… par-dessus les teintureries de nos imaginaires, nous avons dessiné le mirage de la propriété et enfin peint les ivresses sécurisantes de la matérialité qui portent aux instantanés d’un bonheur industriel…

Mais dans ce va et vient d’entre le réel et l’illusion, la navette s’est crashée dans la toile et la toile s’est défilée… Et, au lieu de nous conduire aux portes de la réalisation de l’heur cosmique ; elle nous a conduit aux portes de l’horreur économique : une logique froidement administrée par lesbanques, par les algorithmes et par la finance… une logique purement matérialiste, complètement opportuniste et parfaitement égotiste ; une logique qui n’envisage la biosphère que comme une matière première (extraction) et l’Homme comme une matière secondaire (transformation)…

Cependant, cette matière secondaire est tout de même trop émotionnelle, ce qui la rend instable, peu fiable et ne permet pas d’optimiser l’algorithme qui rythme la mécanique systémique… Alorsles logisticiens, les mécaniciens et mathématiciens du paradigme argent-profit décidèrent d’extraire la donnée émotionnelle de l’équation systémique pour la remplacer par une donnée plus fiable, plus stable et inépuisable : la donnée industrielle…

Le concept de machine-humaine ou d’homme-machine était né… La mécanique, une étape clef… La robotique, le couronnement suprême de l’automatisation-autonomisation de la logique de l’hyper-contrôle, « taylorique » et du toujours-plus, chaotique...

Aussi, si dans l’extrême absolu de cette logique industrielle,

le robot en arrive à remplacer l’Homme…,

n’est-il pas, alors, légitime de se demander… :

qu’advient-il du travail, tel que nous l’entendons…,

qu’advient-il du travailleur…,

qu’advient-il du facteur humain ?

Et d’ailleurs, comment la logique de l’argent-profit pourrait-elle encore réellement se perpétuer ?

Pourrions-nous imaginer une guerre de grands propriétaires de robots pour le contrôle d’une plus grande armée de robotsproducteurs de biens et de services… !

Comment l’Homme pourra-t-il, sans travail -donc sans salaire-,

avoir accès aux biens et services produits par cette armée mécanique de robots ?

Dès lors, et puisque rien ne semble pouvoir mettre fin à cette macabre logique de la mécanique et de la robotique

Ne nous devons nous pas de nous poser ces quelques questions essentielles… : dans ce monde de robots-travailleurs, à quoi s’occupera donc désormais l’« Homo Industrius » ?

Comment gérer la transition travail-homme versus travail-robot… ?

Et comment gérer cette transition avec le moins de désordres sociétales 

et le moins de violences sociales ?

Eh bien ne tergiversons pas…

En faisant tout simplement les robots et/ou machines, qui remplacent des hommes, payer les impôts des hommes qu’ils ou elles remplacent.

C’est là le seul et unique moyen de gérer la transition travail-homme versus travail-machine et de maintenir la machine esclave de la libération de l’Homme…

N’était-ce d’ailleurs pas là, le rêve originel de la robotique : Libérer l’Homme du travail…, pour le libérer de la violence… pour enfin lui permettre d’œuvrer à la satisfaire de ses besoins paroxystiques ?

http://www.lepoint.fr/reactions/economie/commentaires-sur-competitivite-les-robots-a-la-rescousse-08-10-2012-1514676_28

MARIGNANle 09/10/2012 à 16:47

Le chômage ne diminuera jamais...

Avec les progrès de la technique, les moins qualifiés seront de plus en plus rejetés, tandis que les plus qualifiés fabriqueront et feront marcher les robots !... Il faut s'y habituer et payer une partie de la population à ne rien faire, sinon des "riens" dans les services et les loisirs... C'est difficile à admettre, mais il faut préparer l'opinion à cet état de fait... 
Voyez ce qui s'est passé sur l'autoroute : la plupart des cabines ont vides !... Sur 2O cabines vous n'avez plus que 2 ou 3 emplois de surveillants !... A suivre...

Cotisation des machines

En toute équité, le robots devraient payer des cotisations comme tous les travailleurs. Il serait juste qu'elles soient calculées en fonction de leur rendement c'est à dire au nombre d'ouvriers de chair qu'ils remplacent. 
De même il y a belle lurette que les ordinateurs et autres brimborions comme les répondeurs orienteurs téléphoniques devraient cotiser eux aussi. Le nombre de chômeurs qu'ont créé ces machines est pharamineux. 
Les robots de tous poils doivent-ils être programmés pour ne pas nuire à l'homme ? [...]

Cercle vicieux

Un robot détruit combien d'emplois ? "Il faut bien des emplois pour fabriquer les robots", c'est vrai. Mais, demain des robots vont construire des robots, détruisant les emplois précédents. Bientôt, les robots seront conçus par ordinateurs fabriqués par des robots..., etc. 
Et l'humain dans tout ça, que deviendra-t-il ? Il tendra la main pour recevoir des indemnités de survie. 
Le profit, encore le profit, toujours le profit. !

Les robots travaillent au black.

Les robots travaillent 24/24, 7/7, ne touchent aucun salaire et ne génèrent aucune cotisation sociale assurance maladie, retraite, chomage, ni charge, ne prennent pas de congés payés, tombent rarement malades et ne sont jamais en grève ni en congé de maternité. 
Encore mieux que des stagiaires !
Si à court terme, l'Europe ne se protège pas en taxant le travail robotique comme le travail humain, et en taxant les produits importés venant de pays n'appliquant pas eux-mêmes cette taxation, ça va faire très mal pour les finances des Etats.

http://mai68.org/ag/581.htm

Pour les grandes entreprises ? Elles ont robotisé et délocalisé en masse. Tout va bien pour elles... Leurs profits sont en hausse !

Depuis des années, on ne parle plus que de revalorisation du travail manuel, alors que les textes pratiquent la discrimination du travail humain, au profit des automates...

 le capitalisme a utilisé tous les moyens qu'il a pu pour briser la vieille classe ouvrière par trop rebelle. Il a robotisé, bien sûr, mais aussi, il a délocalisé.

 Je suis aussi favorable à la taxation des robots. C'est très simple : il suffit de considérer le nombre d'emplois que le robot a supprimé, et faire payer au patron les charges sociales qu'il aurait payé s'il avait eu des employés et non pas ce robot, et lui faire payer aussi en charge sociale un peu moins que les salaires qu'il aurait eu à payer à ces employés (pas tout à fait les salaires parce qu'il faut tenir compte du coût d'achat et d'entretien du robot, mais ça doit se calculer facilement).

 Un jour prochain, cette idée iconoclaste s'imposera, comme la Taxe Tobin

- Le raisonnement est le suivant : A temps de travail égal, les salariés ne sont plus compétitifs avec les machines dans de nombreux secteurs, d'abord parce qu'ils sont moins efficaces sur une tache répétitive ou très spécialisée, ensuite parce qu'ils représentent des charges sociales de plus en plus élevées pour l'employeur. 

- L'idée de la Taxation des Robots est donc de rétablir l'équilibre, pour qu'il n'y ait plus concurrence entre humains et machines. Au contraire, tout le monde sera d'accord pour que les machines effectuent les travaux pénibles, très complexes ou répétitifs à la place de l'homme, à condition qu'elles cotisent, qu'elles contribuent au même titre que les humains ! 

- En soumettant à une CSG élargie les robots, distributeurs automatiques, Points argents, ordinateurs et systèmes experts, la compétition se réduirait, le chômage aussi et les régimes sociaux par répartition définitivement à l'abri.

- La taxation permettrait d'endiguer l'automatisation et les licenciements. Elle concernerait les petits ordinateurs professionnels comme les gros systèmes, lecteurs de cartes, distributeurs, robots, pompes à essence automatiques, billetteries, trieuses postales... C'est une taxe sur la productivité ( après tout, c'est le seul critère valable, d'après les libéraux ), basée sur un ratio, à préciser, qui serait l'équivalence Machine / Humain, évaluant ainsi la capacité de production d'une machine par rapport à l'homme. 

- Le chômage et la précarité nous coûtent 200 milliards d'Euros par an, au moins. Le système de retraite, la sécu et l'Assedic sont en quête permanente de nouvelles ressources...

- En passant aux trente heures, l'on peut diminuer les cotisations sociales, donc augmenter un peu le salaire net et le pouvoir d'achat, financer les régimes de retraite sans rogner une fois de plus, sur les acquis sociaux, favoriser la création d'emplois socialement utiles et écologiques...

- Les calculs joints, un peu " à la louche " quant au nombre de machines en service, méritent d'être affinés.


Christian Denis - Guide Grain Vert

http://desiebenthal.blogspot.be/2012/12/300-000-robots-ont-deja-ete-introduits.html 

D'abord ils nous ignorent, ensuite ils se moquent de nous, puis ils nous combattent, et enfin nous gagnons! "(Mahatma Gandhi 1869-1948)

300 000 robots ont déjà été introduits.

D’après l’agence de presse Xinhua, le géant taïwanais Foxconn aurait confirmé le remplacement d' une partie de sa main d’œuvre par plus d' un million de robots en trois ans. 


300 000 robots ont déjà été introduits.
Les machines suppléent les humains pour des tâches courantes telles que l’assemblage, la soudure et la peinture. 


Foxconn employait 1,2 million d’ouvriers dont la majorité en Chine pour la fabrication des produits Apple, HP, Dell, Nokia ou encore Sony.

Le courage de taxer les robots et de distribuer à tous les revenus ainsi libérés

Les robots libérateurs !
http://pavie.ch/articles.php?lng=fr&pg=765

On peut en effet gagner plus en travaillant moins si la productivité du travail augmente, grâce aux robots...

D'accord si nous avons tous un dividende ou revenu universel pour consommer les biens produits par les robots et nous trouverons des tâches utiles à remplir ( éducation des enfants, art, agriculture pour nourrir les affamés, recherche, etc ...)



http://www.michaeljournal.org/images/Robots-or.jpg
Légende traduite: Ce robot peut tous vous remplacer, vous êtes donc tous au chômage.

http://desiebenthal.blogspot.be/2012/11/si-les-robots-font-tout-le-boulot-que.html

Si les robots font tout le boulot, que va faire l'homme ?

 

Retraites de plus en plus tard, une fausse solution. Taxer les robots, la vraie solution.

Le courage de taxer les robots et de distribuer à tous les revenus ainsi libérés

Les robots libérateurs !
http://pavie.ch/articles.php?lng=fr&pg=765

On peut en effet gagner plus en travaillant moins si la productivité du travail augmente, grâce aux robots...

D'accord si nous avons tous un dividende ou revenu universel pour consommer les biens produits par les robots et nous trouverons des tâches utiles à remplir ( éducation des enfants, art, agriculture pour nourrir les affamés, recherche, etc ...)

Si les robots font tout le boulot, que va faire l'homme ?

François Bugeon | Ingénieur-chercheur

Dans le film d’animation « Wall E », les hommes délèguent tout à leurs robots. Une fiction ? Plutôt une anticipation. Démonstration.

 si les robots sont partout, quelle place reste-t-il aux hommes ? Et ce n’est pas qu’une question théorique, à réserver à nos arrière-petits-enfants.

Ainsi, lors du dernier Salon de la recherche et de l’innovation début juin, le Laas, laboratoire du CNRS, présentait son travail sous la forme d’un robot humanoïde qui se mouvait et déplaçait des objets avec une agilité confondante. 
Un des scientifiques présents me confirma ce qu’un de ses collègues m’avait déjà confié deux ans auparavant : les robots humanoïdes capables de remplacer l’homme dans la majorité de ses tâches seront sur le marché d’ici vingt à trente ans.

 Le ministère japonais de l’Economie, du Commerce et de l’Industrie a consacré en 2007 près de 2 milliards de yens au soutien de projets de robots parfaitement autonomes et aptes à prendre leurs propres décisions sur leur lieu de travail. 
Le gouvernement japonais estime que le secteur de la robotique sera une composante essentielle du développement économique pouvant atteindre un chiffre d’affaires annuel de l’ordre de 26 milliards de dollars au cours de la prochaine décennie.

 

Jobs possibles : cueillir des pommes, servir au comptoir, changer les couches...
Le but d’une robotisation n’est pas forcément de produire plus et mieux qu’un homme, mais de le supprimer. Toutes les tâches dépendantes du savoir-faire plutôt que de la conception sont susceptibles d’être robotisées : cueillir des pommes, réparer une automobile, traduire, servir derrière un comptoir, s’occuper d’élevages d’animaux, changer les couches d’un enfant ou pratiquer une opération du cerveau.
Et contrairement à ce que l’on peut imaginer, ce sont les services à la personne qui pourraient être robotisés en premier : au Japon et en Corée, les robots sont d’abord envisagés comme aides aux personnes âgés. L’automatisation a amélioré la rentabilité en améliorant la productivité humaine.
La robotisation améliorera la rentabilité en retirant l’homme du processus de production.
On pourra avoir un exemple de l’impact de la robotisation sur le travail avec les voitures robotisées qui seront sur le marché bien avant les robots humanoïdes.
Aux Etats-Unis, le Pentagone a décidé que dès 2015, un tiers de ses véhicules terrestres devrait rouler sans pilote. La Darpa organise pour cela des courses ouvertes aux constructeurs du monde entier,
comme l’Urban Challenge(Voir la vidéo)
 
On peut supposer que les premières voitures robots appartiendront à des sociétés de taxi. Cela n’a rien d’étonnant puisque 18 véhicules de ce genre sont en cours de test à l’aéroport britannique d’Heathrow et d’autres au nouveau centre d’exposition de Rome ainsi qu’en Espagne dans la ville de Castellón, dans le cadre du projet européen CityMobil, qui réunit 10 pays et 28 partenaires dont la RATP et l’Inria. (Voir la vidéo)
 
Des problèmes de droit se poseront inévitablement lorsque ces voitures s’inséreront réellement dans la circulation, comme la responsabilité en cas d’accident. Mais une solution juridique finira inévitablement par s’imposer. Dès lors, tous les taxis de France seront menacés de disparaître, et parce que la robotique est parfaitement générique et versatile, ce seront les chauffeurs de bus, les transporteurs routiers et les livreurs qui seront remplacés en une à deux générations automobiles, c’est à dire entre quatre et huit ans.
Comme toutes les nouvelles technologies, les robots adaptés au marché s’imposeront en moins de dix ans.
Dès lors, aucune entreprise ne pourra faire l’économie de sa robotisation massive pour rester dans la compétition économique.
Aucun pays ne pourra se l’interdire si son voisin l’autorise, et à moins que toutes les nations ne reviennent à un fonctionnement autarcique, l’ensemble de la planète robotisera le travail.

Nos sociétés doivent se préparer à la raréfaction brutale du travail

Selon l’évolution actuelle de la robotique, la raréfaction du travail interviendra d’ici vingt à trente ans au maximum, et elle surviendra à une vitesse telle que nos sociétés seront incapables de réagir correctement. C’est à ce défi qu’il faut faire face, et non pas à la fin du travail, qui reste néanmoins un aboutissement quasi certain.
Nous devons préparer nos sociétés à supporter la raréfaction brutale du travail : 
  • Que signifie-t-elle pour nos sociétés construites sur la valeur travail ?
  • Quelle sera la reconnaissance sociale pour ceux qui ne travailleront pas ?
  • Comment organiser le travail rare ?
  • Le travail rare est-il encore travail ou bien l’accès réservé à une source d’enrichissement pour quelques privilégiés ?
Et surtout, comment va-t-on redistribuer la richesse demain,
quand l’on sait que dans la France d’aujourd’hui, les revenus du travail restent plus imposés que ceux du capital -en 2002, le taux implicite sur le travail était de 41,8 % et le taux d’imposition implicite sur le capital de 36,6%, selon la Commission européenne ?
C’est un fait, la question n’est plus « comment faire pour que les gens travaillent encore ? “, mais ‘comment faire pour vivre sans dépendre de son travail ? . Le questionnement essentiel d’un certain Karl Marx, en somme...
Photo : Wall E, robot-héros du dernier dessin animé signé Pixar (Walt Disney).

 
Etienne Chouard explique pourquoi il faut libérer les Hommes de la quête nécessaire de l'argent par le travail marchand, facteur de soumission du peuple à ceux qui détiennent l'argent.

Avec un revenu de base inconditionnel, on libérerait ainsi la créativité humaine, et on permettrait aux citoyens de se consacrer à ce qui leur semble bon et juste.

http://www.courriercadres.com/emploi/politique-de-l-emploi/emploi-la-cfe-cgc-pour-la-creation-d-une-taxe-sur-les-automates

Emploi : la CFE-CGC pour la création d’une taxe sur les automates

Taxer les caisses automatiques
La CFE-CGC propose notamment de taxer les caisses automatiques qui détruisent des emplois de caissières.

La CFE-CGC a tenu le 12 septembre sa conférence de rentrée sociale. Bernard Van Craeynest, son président, a présenté les trois priorités du syndicat, parmi lesquelles la taxation des automates qui remplacent la main d'œuvre.

Bernard Van Craeynest, président de la Confédération française de l’encadrement et Confédération générale des cadres, a rappelé et détaillé lors de la conférence de rentrée sociale du syndicat, ses priorités.

Taxer les automates
La CFE-CGC propose notamment de créer une taxe sur les robots et les machines concernant les activités non délocalisables.

Le but affiché est de faire payer les entreprises

qui détruisent des emplois en installant des robots

pour remplacer la main d’œuvre.

L’exemple le plus parlant étant celui des caissières de supermarché.

 SUITE !!

 

 

 



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