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BAB IL ONE ? SEXAGESIMAL ? MESOPOTAMIE SUMER : BASE SEXAGéSIMALE ! LES SIGNES DU ZODIAQUE ?

 

http://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9sopotamie

Sciences

Mathématiques

Article détaillé : Mathématiques babyloniennes.

Le système numérique employé par les Mésopotamiens était

de base sexagésimale (base 60),

avec quelques aspects d'un système décimal.

Les connaissances mathématiques des Anciens mésopotamiens ont accompli de grands progrès durant la période paléo-babylonienne, après quoi ils furent minimes.

Mais il fallut attendre le Ier millénaire pour que ce savoir soit employé à sa pleine mesure dans le domaine de l'astronomie.

 

Astronomie

Article détaillé : Astronomie babylonienne.

La séparation que l'on effectue entre astronomie et astrologie est inconnue des Anciens mésopotamiens, comme pour beaucoup d'autres peuples avant l'époque moderne.

Les connaissances astronomiques des Mésopotamiens atteignirent un très haut niveau durant le Ier millénaire, époque durant laquelle les astronomes "Chaldéens" étaient réputés jusqu'en Grèce.

Les Mésopotamiens avaient mis au point le principe de la division de la voûte céleste entre douze signes du Zodiaque, qui sont sensiblement les mêmes que les nôtres. De la même manière, ils avaient déjà nommé de nombreuses constellations. Ils connaissaient cinq planètes : Mercure (Sihtu), Vénus (Delebat), Mars (Salbanatu), Jupiter (Neberu) et Saturne (Kayamanu).

Au Ier millénaire, les prêtres astronomes babyloniens avaient compilé de longues listes de relevés de phénomènes astraux. En les interprétant, ils en étaient arrivés à établir des éphémérides pour tous les astres observables, et en arrivèrent presque à prédire des éclipses, dont ils avaient repéré l'aspect cyclique.

 

Médecine

Article détaillé : Médecine en Mésopotamie.

Pour les Mésopotamiens,

la maladie était une malédiction envoyée par les dieux.

Ceux-ci, maîtres de tous les hommes avaient été insatisfaits

par le comportement de certains d'entre eux,

qu'ils punissaient en envoyant des "démons" qui les rendaient malades,

ou bien ils se chargeaient eux-mêmes de la tâche.

Pour guérir un malade, on pouvait recourir à des pratiques qui nous semblent différentes mais qui étaient alors vues comme complémentaire, la magie et la médecine empirique. De longues listes techniques nous renseignent sur ces pratiques. Elles se présentent sous la forme de phrases avec une protase présentant l'état du malade, et une apodose disant le diagnostic, avec parfois à la suite le traitement à prodiguer.

Elles concernent différents domaines, depuis la gynécologie jusqu’à des cas psychiatriques, en passant par l'ophtalmologie. On dispose aussi d'une longue liste de recettes de produits pharmacologiques.

 

La majeure partie de nos sources écrites sur le droit mésopotamien sont les très nombreux actes légaux retrouvés dans les différents sites de la région des deux-fleuves, auxquels peuvent être ajoutés ceux retrouvés ailleurs dans le Proche-Orient,

depuis Suse jusqu’à Alalakh et Ougarit.

Il s'agit d'actes de prêts (contrat de base, le plus courant, et duquel sont inspirés les autres contrats, au moins pour leur formulaire), d'achats/ventes/locations de biens immobiliers, d'animaux ou d'esclaves, de contrats de mariage ou d'adoption, d'affranchissement, de contrats de société (commerciaux surtout), et aussi de compte-rendus de procès.

Retrouvés sur un grand espace géographique, et sur une très grande période (depuis le XXIe siècle av. J.‑C. jusqu’à la seconde moitié du Ier millénaire av. J.‑C.), ils nous présentent des situations variées, et de nombreux aspects juridiques. Ainsi, chaque lieu développe à une période donnée un type de formulaire récurrent pour la rédaction d'un acte juridique précis. On peut néanmoins relever des similitudes entre les différentes périodes attestées, témoignant d'un même fonds juridique.

Au-delà de l'aspect légal, ces documents sont une mine d'information qui nous permettent d'entrevoir, comme peu d'autres documents cunéiformes, la vie quotidienne des Anciens mésopotamiens. On peut grâce à ces textes analyser les institutions, les rapports sociaux, les pratiques agricoles, artisanales ou commerciales, etc.

  • la peinture : elle est assez peu attestée, car peu de peintures ont été conservées ; les plus belles fresques mésopotamiennes ont été retrouvées à Mari) (XVIIIe siècle av. J.‑C.), Til-Barsip (VIIIe siècle av. J.‑C.) et un peu dans les capitales néo-assyriennes (Assur, Kalhu, Ninive) (IXe-VIIe siècle av. J.‑C.) ; leur style est très proche de celui des bas-reliefs.
  • l'orfèvrerie : assez peu de bijoux de grande qualité ont été mis au jour, les plus beaux exemples ont été exhumés des tombes royales d'Ur ; sinon, on peut avoir une idée de leur forme par la représentation de bijoux portés par des hommes sur des bas-reliefs.

 Les temples sont traditionnellement considérés comme ayant trois parties principales : un vestibule, une antichambre,

puis le "saint des saints' abritant la statue de la divinité principale.

Ces édifices sont en fait organisés selon le même principe qu'une résidence normale, à savoir autour d'un espace central, ouvrant parfois sur des magasins et bâtiments administratifs, ou bien des bibliothèques.

Les temples les plus importants avaient de grandes dépendances, en raison de leur richesse économique et de l'importance numérique de leur personnel.

 

Les esclaves

Les esclaves (sumérien ÌR, akkadien (w)ardu(m)) occupent le bas de l'échelle sociale.

Ils sont considérés comme des objets, au service de leur maître.

Il y a différentes façons de devenir esclave :

s'il ne s'agit pas d'esclaves de naissance, la majorité sont des prisonniers de guerre,

et on trouve également

des hommes libres tombés en servitude à cause de dettes impayées.

 Fichier:Relief spinner Louvre Sb2834.jpg

Stèle représentant une femme en train de filer, Suse, VIIIe siècle av. J.‑C.

 

 

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