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ANTI-INFLAMMATOIRE ?? HARPAGOPHYTUM ?? L'ANTI-INFLAMMATOIRE REMPLACE LA CORTISONE ??? EFFETS SECONDAIRES PEUVENT PROVOQUER DES MALADIES GRAVES ???

 

http://fr.wikipedia.org/wiki/Harpagophyton

Usages médicaux

Harpagophytum procumbens est une plante médicinale dont la racine est inscrite dans la pharmacopée européenne avec l'indication :

« traditionnellement utilisée dans le traitement symptomatique des manifestations articulaires douloureuses mineures »[1].

Les guérisseurs khoïkhoï, san, namaquas et bantous connaissent depuis longtemps les propriétés anti-inflammatoires des racines secondaires.

La British Herbal Pharmacopoeia reconnaît à la griffe du diable des propriétés d'analgésique, de sédatif et de diurétique.

Réputé pour apaiser certains troubles articulaires, l'harpagophytum procumbens est aujourd'hui cultivé et cueilli sous protection d'une charte et d'un quota pour garantir la pérennité de sa ressource. Depuis une vingtaine d'années, l'essor de la phytothérapie passe par le succès de la racine d'harpagophyton dans la prise en charge des troubles articulaires. L'importance de la demande mondiale (environ 1 000 tonnes de racines sèches par an dont 400 proviennent de Namibie) a conduit le gouvernement namibien a encadrer la culture et la cueillette par un cahier des charges précis.

Bien que l’harpagophytum soit plus efficace sur la douleur arthrosique qu'un placebo[3],[4], le dossier clinique d'évaluation de l' 'harpagophytum (synthèse publiée en 2004) est maigre, d'une qualité médiocre et de faible niveau de preuves. Il n'existe pas de comparatif versus traitement de référence pour l'arthrose[1].

Plusieurs études ont néanmoins été effectuées à l'aide de Doloteffin, une préparation standardisée d'harpagophytum, en Allemagne et au Royaume-Uni, qui ont conclu que H. procumbens a été distingué de Vioxx dans le traitement de la lombalgie chronique[5] et a été bien toléré après plus de quatre ans de traitement de H. procumbens seul[6]. H. procumbens semble également efficace dans le traitement de la douleur induite par des arthrites de la hanche et du genou[7], l'auteur qui a participé à plusieurs études sur les vertus analgésiques de la griffe du diable a conclu qu'avec un minimum de 50 mg par dose (pour un extrait standardisé) c'est une alternative à des analgésiques synthétiques, avec un faible risque d’événements indésirables[8].

Un examen systématique a porté sur les plantes médicinales utilisées pour traiter la lombalgie. Il a conclu en 2006 qu'une dose quotidienne standardisée de 50 à 100 mg de harpagoside donnait de meilleurs résultats qu'un placebo, et qu'une quelconque dose de harpagoside était aussi efficace que 12,5 mg de Vioxx par jour[9]. Il semble donc pouvoir améliorer le confort de patients souffrant de certains rhumatismes ou de lombalgies, et il améliorerait la souplesse des articulations (Il ne semble pas y avoir eu d'études portant directement sur ce point).

Son intérêt est discuté pour certains des maux suivants, mais l'hapagophytum a été recommandé par certains auteurs pour le traitement de certaines maladies du foie, des reins, de la vésicule biliaire et de la vessie.

Il stimulerait aussi l'appétit et la digestion, ainsi que l'augmentation du bon cholestérol et des acides gras dans le sang et limiterait certains troubles gastro-intestinaux, les brûlures d'estomac et la goutte.

Il a parfois été recommandé contre le diabète, et contre le durcissement des artères, pour les problèmes menstruels, ou encore contre les maux de tête[10].

La griffe du diable est enfin parfois utilisé en traitement externe pour soigner certaines plaies, des ulcères, des furoncles et d'autres lésions de la peau.

Effets indésirables...

Aucun effet indésirable grave n'a été décelé dans les essais d'usage interne.
Des cas de diarrhée ont été signalés, ainsi qu'un purpura.
Une interaction médicamenteuse est possible avec un anticoagulant oral, avec le Ticlopidine (Antiagrégant) et le Warfarin. Les patients doivent donc consulter un médecin avant de combiner l'harpagophytum avec l'un ces médicaments[11]

En outre, l'harpagophytum favorise la sécrétion d'acide gastrique (comme beaucoup d'anti inflammatoires), ce qui conduit à ne pas le recommander aux personnes ayant des problèmes d'ulcères, de gastrite ou d'excès d'acide gastrique. Les personnes avec des problèmes biliaires devraient aussi ne l'utiliser que sous la surveillance d'un médecin[12]

Son efficacité, bien que faible, ayant été reconnue (voir ci-dessus), l'harpagophyton est fortement convoitée par les laboratoires pharmaceutiques. Revers de la médaille, cette convoitise met en danger la plante : constatant une augmentation de 700 tonnes en 2001 à plus de mille tonnes exportées en 2002 par la seule Namibie (l'harpagophyton pousse à l'état sauvage dans le désert du Kalahari), le Comité pour les plantes réuni à Genève en 2003 dans le cadre de la CITES (Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction) s'inquiétait pour la "durabilité" de cette ressource et le caractère équitable de son commerce ...

 http://fr.wikipedia.org/wiki/Vioxx

 

Le rofécoxib est un médicament anti-inflammatoire non stéroïdien (AINS) de la classe des coxibs qui était utilisé dans le traitement de l'ostéoarthrite, des états douloureux aigus, et de la dysménorrhée. Exemples de noms commerciaux : Vioxx®, Vioxx-Dolor®. Il a été retiré du marché en 2004 à cause de problèmes liés à un risque accru d'infarctus du myocarde (au niveau mondial le 30 septembre 2004).

Il a été introduit en 1999 par la multinationale Merck, et était disponible sur ordonnance en cachet et suspension buvable.

Rien qu'aux États-Unis, on estime que plus de 20 millions de personnes l'ont utilisé.

Inhibiteur COX-2 sélectif

Comme toute molécule de cette classe, elle possède une action anti-inflammatoire et sensiblement moins d'effets indésirables gastrique (brûlures, ulcère),

mais plus de risque de développer des maladies cardio-vasculaires.

Contrairement à l'aspirine et aux anti inflammatoires non stéroïdiens classiques, elle ne modifie pas la sécrétion de Thromboxane A2. De plus, elle diminue le taux de prostacycline circulante, cette dernière étant vaso-dilatatrice. l'aggrégabilité plaquettaire est alors augmentée.

Effets secondaires

article principal : coxib

Retrait du marché[modifier]

Étude de la FDA

Une étude de l'administration américaine des denrées alimentaires et des médicaments (Food & Drug Administration FDA) concluait que 27 785 décès et problèmes cardiaques pourraient avoir été causés par le Vioxx entre 1999 et 2004. Ce n'est qu'après cette étude que Merck a alors décidé de retirer le Vioxx du marché, bien que de nombreuses études précédentes indiquaient des risques importants suite à l'utilisation de ce médicament[2].

Étude VIGOR

Le Rofecoxib, testé en double aveugle contre le naproxène sur 2000 patients sur neuf mois, un anti-inflammatoire classique, montre un doublement du nombre d'infarctus du myocarde. L'explication initiale était un effet "protecteur" du naproxene, qui n'a, en fait, jamais été démontré.

Étude APPROVe

£Le Rofecoxib a été testé sur 2600 patients, contre un placebo, sur 3 ans. L'étude a été interrompue de manière précoce devant le quasi doublement du nombre d'infarctus du myocarde dans le groupe traité. Cette étude a été le prétexte à l'arrêt de la commercialisation de la molécule.

Retrait

Le retrait de la molécule a donné lieu à d'importantes controverses sur la diffusion des informations, et mettant en cause le laboratoire pharmaceutique[3]. Il semble notamment que des données sur la majoration des risques cardiaques étaient disponibles dès 2001, soit trois ans avant le retrait de la molécule[4].

Il semble que le Rofecoxib comporte des effets secondaires graves, surtout en cas de prise prolongée ou de terrain prédisposant. Les autres COXIBS ne sont pas exempts des mêmes effets, même s'ils sont numériquement plus rares.

Volume financier

Depuis la mise sur le marché du Vioxx en 1999, Merck a engrangé un chiffre d'affaires annuel de 2 milliards de dollars[5].

Le risque cardiovasculaire et de décès aurait pu être détecté près de quatre ans avant son retrait volontaire du marché mondial par son fabricant en 2004.

Notes et références

Masse molaire calculée d’après Atomic weights of the elements 2007 [archive] sur www.chem.qmul.ac.uk.

  1. (en) FDA Estimates Vioxx Caused 27,785 Deaths [archive]
  2. Retrait du Vioxx - Sénat [archive]
  3. Ross JS, Madigan D, Hill KP¨et Als. Pooled analysis of Rofecoxib placebo-controlled clinical trial data [archive], Arch Intern Med, 2009;169:1976-1985
  4. Information de l'Agence France-Presse du 23 novembre 2009.

 CORTISONE ??

 http://fr.wikipedia.org/wiki/Maladie_de_Horton

Présentations cliniques

La forme complète et typique de la maladie de Horton comprend :

  • Un syndrome d'altération de l'état général: une fièvre ou un fébricule au long cours, un amaigrissement et une fatigue (asthénie)
  • des maux de têtes (céphalées) surtout au niveau des tempes avec une hypersensibilité du cuir chevelu (hyperesthésie)
  • l'artère temporale peut sembler parfois dure et ne "bat" plus (abolition ou diminution du pouls temporal)
  • Le symptôme le plus caractéristique est la claudication de la mâchoire. Le patient ne peut pas mastiquer très longtemps sans ressentir une douleur et être obligé de faire une pause dans son activité masticatoire.

Mais la maladie de Horton est une maladie qui touche tous les vaisseaux sanguins et les manifestations peuvent être très diverses : douleurs articulaires, atteintes des gros vaisseaux (carotide, aorte, artères iliaques), du cœur, des poumons, manifestations neurologiques ou psychiatriques, etc.

Elle est souvent associée à la PPR (pseudo-polyarthrite rhizomélique).

 

Rahman évoque un découpage de la maladie de Horton en deux phases successives : une phase systémique (dominée par les signes généraux) qui précède une phase ophtalmique[4]. Cette hypothèse est également défendue par une large étude rétrospective (portant sur 167 patients) : les patients diagnostiqués le plus tardivement après les premiers symptômes sont également ceux qui ont le plus fort taux d’atteintes ophtalmiques.

Une alternative à cette hypothèse consiste à penser que les différents modes de présentation clinique correspondent à différentes localisations d’artérite gigantocellulaire.

Enfin certains auteurs expliquent les différents modes de présentation par des causes favorisantes diverses, notamment auto-immunes et infectieuses.

Les signes céphaliques

Les signes cliniques « historiques » de la maladie de Horton sont donc céphaliques : céphalées, hyperesthésies du cuir chevelu (signe du peigne), épaississement douloureux des artères temporales, claudication de la mâchoire, diplopie, baisse d’acuité visuelle.

Selon les études, une atteinte oculaire unilatérale ou bilatérale est présente dans 14 à 70 % des cas de la maladie de Horton. La complication grave la plus fréquente est en effet la cécité qui est liée à l’histoire naturelle de la maladie. Elle interviendrait dans 36 % des cas : les études les plus anciennes parlent de 50 % alors que la plus récente parle de 13 %. Cette évolution décroissante du taux d’atteinte oculaire peut certainement être reliée à une meilleure prise en charge dans les études les plus récentes. Le diagnostic doit donc être fait le plus tôt possible.

Les atteintes extracraniales

Cependant cette définition historique de la maladie de Horton a été étoffée dès 1938 par les premières observations d’atteintes extracraniales. En 1946, Cooke et al.[réf. nécessaire] n’hésitent pas à parler de « maladie vasculaire généralisée »

  D’autres études autopsiques, réalisées dans les années 1960, vont argumenter un rapprochement nosologique entre la maladie de Horton et la pseudopolyarthrite rhizomélique. Il s’agirait en effet de deux entités répondant à une même définition anatomopathologique, à savoir une panartérite gigantocellulaire. L’hypothèse d’une nature systémique de l’artérite gigantocellulaire est actuellement la plus défendue. La différence de présentation clinique serait donc due à une diversité de localisation des atteintes vasculaires. De nombreuses localisations extracraniales rares ont été rapportées dans la littérature : utérus et ovaires, vaisseau thoraciques, artères coronaires, thyroïde, foie, intestin grêle, vésicule biliaire, rein, pancréas, œsophage, moelle osseuse, moelle épinière, nerfs et prostate.

 Symptômes[modifier]

Les signes cliniques les plus fréquemment retrouvés dans la maladie de Horton sont :

Aucun de ses signes n'est absolument spécifique. De nombreux cas de maladie de Horton sont rapportés dans la littérature avec des signes atypiques : anorexie, amaigrissement, asthénie, fébricule au long cours (≥ 3 mois), fièvre d’origine inexpliquée, syndrome inflammatoire inexpliqué, sueurs nocturnes, découverte fortuite d’une anémie.

 Complications

La complication grave la plus fréquente est la cécité. Elle peut survenir très brusquement et est définitive. Elle est présente dans un peu moins de 15 % des cas[7]. Cette complication est la conséquence soit, comme dans la majorité des cas (75%), d'une neuropathie optique ischémique antérieure (ou NOIA, le nerf optique n'est alors plus vascularisé par les vaisseaux atteints d'artérite) soit (20%) d'une occlusion de l'artère centrale de la rétine (ou OACR, la rétine n'est alors plus vascularisée) et plus rarement (5%) d'une névrite optique rétro-bulbaire (ou NORB).

 Traitement[modifier]

Les anti-inflammatoires stéroïdiens sont la base du traitement de la Maladie de Horton.

Le traitement, à mettre en route le plus rapidement possible, est la corticothérapie car il s’agit d’une urgence ophtalmologique. Ce traitement à la cortisone commence avec des doses assez importantes qui seront diminuées petit à petit. Le traitement dure en général plus de dix-huit mois. Il est souhaitable de commencer ce traitement avant même la biopsie de l'artère temporale.

La dose initiale de Prednisone retenue varie entre 0,7 et 1 mg/Kg/jour selon les publications. Cette dose est adaptable à la baisse en cas de syndrome inflammatoire peu prononcé, ou à la hausse en fonction des répercussions oculaires, vasculaires ou neurologiques. Les européens semblent préconiser des doses plus faibles que les nord-américains [réf. nécessaire].

La décroissance progressive des doses est actuellement guidée par les marqueurs biologiques de l’inflammation : Protéine C réactive (CRP) et VS. La CRP a comme principal avantage de ne pas varier avec l’âge, mais elle a l’inconvénient de refléter une inflammation aiguë. Elle diminue donc très rapidement après le début de la corticothérapie. La VS est accélérée par l’âge mais reflète une inflammation sur une durée plus longue. De plus il existe une formule pour corréler la VS à l’âge. La VS est mieux corrélée à la fibrinémie que la CRP. Il n’y a pas de consensus pour déterminer lequel de ces deux marqueurs est le plus fiable. Les européens semblent utiliser plus volontiers la CRP tandis que les nord-américains utilisent davantage la VS.

La récidive est fréquente (près d'un tiers des cas)[10], surtout au cours de la première année.

Utilisée depuis les années 1950, la corticothérapie reste le traitement conventionnel malgré l’avènement des traitements immunosuppresseurs, notamment dans les cas de corticorésistance. En cas d'échec de la corticothérapie, le méthotrexate peut être essayé. Le recours au Méthotrexate est très controversé [réf. nécessaire]. Par contre, l’utilisation d’un antiagrégant plaquettaire semble diminuer le risque de survenue de complications vasculaires ou ophtalmologiques. Enfin, en cas d’atteinte oculaire ou vasculaire grave, certains auteurs préconisent des bolus de Méthylprednisolone de 250 mg/jour sur 3 jours.

 http://fr.wikipedia.org/wiki/Pseudo-polyarthrite_rhizom%C3%A9lique

La pseudo-polyarthrite rhizomélique, aussi nommée syndrome de Forestier-Certonciny, est un rhumatisme inflammatoire débutant classiquement chez la femme après la cinquantaine, touchant essentiellement les racines des membres. Elle entre dans le cadre des maladies dites connectivites.

Manifestations cliniques

Le tableau clinique typique comporte un enraidissement douloureux des épaules surtout, et des hanches, de rythme inflammatoire ; un état subfébrile avec asthénie, anorexie ; l'amaigrissement est rapide et parfois apparaissent des arthrites périphériques avec épanchement.

Arthrites isolées des extrémités ou véritable polyarthrite.

Les céphalées et les troubles visuels doivent évoquer l'association à une maladie de Horton. Troubles de l'humeur avec irritabilité, et dépression.

Traitement et évolution

Evoluant par poussées, la maladie guérit en environ 2 ans, mais certains cas présentent une évolution plus prolongée.

La corticothérapie a un effet spectaculaire sur la symptomatologie, même à doses moyennes. Elle sera progressivement diminuée puis arrêtée.

Les antipaludéens de synthèse, les anti-inflammatoires non stéroïdiens, ont un effet en cas de contre-indication à la corticothérapie.

Dans les formes à évolution prolongée, la prescription de Méthotrexate (DCI) (acide amino-4 méthyl-10 folique) est associée à la corticothérapie. Il est cependant reconnu que le methotrexate n'est pas un traitement validé dans cette indication.

La surveillance de l'évolution est basée sur les symptômes et sur la biologie (VS, CRP).

http://fr.wikipedia.org/wiki/AINS

Les anti-inflammatoires non stéroïdiens, souvent abrégés en AINS, sont des médicaments aux propriétés analgésiques, antipyrétiques et anti-inflammatoires. Ils réduisent la douleur, la fièvre et l'inflammation. Le terme « non stéroïdien » est utilisé pour les distinguer des glucocorticoïdes, qui (parmi un large éventail d'effets) ont une semblable action anti-inflammatoire (dépression des eicosanoïdes). Les deux plus connus sont l'aspirine et l'ibuprofène.

 Groupe des coxibs = AINS COX-2 sélectifs

Ces molécules (le Celebrex de Pfizer entre autres), commercialisées depuis 2000, avaient selon les fabricants une meilleure tolérance digestive. Celle-ci a depuis été révisée[2] et est considérée comme, au mieux, minime. Le rofécoxib Vioxx, VioxxDolor de Merck a été retiré du marché à l'échelle mondiale le 30 septembre 2004 car son utilisation sur le long terme semble avoir entraîné de très nombreux accidents cardiovasculaires et décès. À présent, des soupçons pèsent sur le Celebrex et sur les autres coxibs, lorsqu'ils sont également donnés de manière prolongée.

Usages des AINS

  • Dans certains rhumatismes inflammatoires chroniques ;
  • Pour le traitement symptomatique de courte durée des poussées aiguës de l'arthrose ;
  • Contre la douleur, la fièvre et dans les états grippaux ;
  • L'acide acétylsalicylique est utilisé en association dans la prévention de l'infarctus du myocarde et des accidents coronariens et cardiaques.

 Effets secondaires

Le paradigme des COX-2

La découverte de l’existence de la cyclo-oxygénase 2 (COX-2) en 1991 Daniel L. Simmons à la Brigham Young University de Provo (Utah) souleva l’espoir du développement d’un anti-inflammatoire non-stéroïdien dénué des effets indésirables gastro-intestinaux qui caractérisent cette classe. On pensait alors que l’inhibition sélective de la COX-2 aboutirait à un processus anti-inflammatoire sans perturber le métabolisme des prostaglandines qui stimulent la sécrétion de mucus protecteur de l’épithélium gastrique.

Le meloxicam, relativement sélectif de la COX-2 fut le premier pas vers le développement d’un vrai inhibiteur sélectif de la COX-2. Les coxibs (celecoxib, rofecoxib, valdecoxib, parecoxib and etoricoxib) qui constituent la classe la plus récente des AINS peuvent être considérés comme de réels inhibiteurs sélectifs de la COX-2.

EFFETS SECONDAIRES SUR LA NOTICE FIGURANT DANS LA BOÎTE

ASPIRINE - IBUPROFEN- MEDROL A (CORTISONE) ????

 

 

 

 

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