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LE J.C. SACRE COEUR EXPLIQUE CE QU'IL CONNAÎT LE MIEUX : LES ENFERS ! 1602 CREATION !

http://vincent.detarle.perso.sfr.fr/catho/enfer_le_lieu.html

La création de l'Enfer

D'après les visions de Marie D’AGRÉDA (1602-1665)


CHAPITRE VII. (...)
 Et avant que de les créer, le Très-Haut veut préparer et créer le nécessaire pour cela et pour le temps qu'il leur devait accorder de vivre ; afin que par tous les endroits ils se trouvent forcés d'obéir et d'aimer leur Créateur et leur bienfaiteur, et qu'ils connaissent par ses ouvrages son admirable nom et ses perfections infinies.

Moïse dit que la terre était vide, ce qu'il ne dit pas du ciel, parce qu'en celui-ci Dieu créa les anges dans l'instant dont Moïse dit : Dieu a dit : Que la lumière soit faite; et la lumière fut faite. Car il ne parle pas seulement de la lumière matérielle, mais aussi des lumières angéliques ou intellectuelles.
 

Et il n'en fit pas une plus claire mention que de les signifier sous ce nom, à cause du facile penchant que les Hébreux avaient d'attribuer la divinité à des choses nouvelles et moins nobles que les esprits angéliques. Mais la métaphore de la lumière fut fort juste et fort propre pour nous signifier la nature angélique et pour nous faire mystiquement entendre la lumière de la science et de la grâce dont ils furent éclairés en leur création. 

Dieu créa, conjointement avec le ciel empyrée,

la terre pour y former l'enfer en son centre;

car dans le même instant qu'elle fut créée, il se trouva par la divine disposition au milieu dé ce globe des cavernes fort profondes et spacieuses, capables de contenir l'enfer, les limbes et le purgatoire. 

En même temps il fut créé dans l'enfer un feu matériel et toutes les autres choses qui y servent à présent pour tourmenter les damnés. Le Seigneur devait ensuite séparer la lumière des ténèbres et appeler la lumière jour, et les ténèbres nuit; et cela n'arriva pas seulement entre la nuit et le jour naturel, mais entre les bons et les mauvais anges; car il donna aux bons la lumière éternelle de sa vision, et il l'appela jour, et jour éternel; il appela les mauvais nuit du péché, et ils furent précipités dans les ténèbres éternelles de l'enfer, afin que nous connussions tous combien furent unies la libéralité miséricordieuse du Créateur et du Vivificateur dans la récompense, et la justice du très-équitable Juge dans le châtiment.
 (...)

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Tout ce que Jésus te donne

à voir et souffrir des tourments de l'enfer

est pour que tu puisses les faire connaître au monde

Extrait de vie de Soeur Josefa Menéndez (1890-1923)


Jésus-Christ s'est apparu souvent pendant les années 1921-22 et 23 à soeur Josefa Menéndez, une religieuse de la Société du Sacré Coeur de Jesus.

Ses Mémoires sont publiées dans un livre de plus de 500 pages intitulé : Un appel à l'Amour.

Dans ce Livre on explique la persistance de Jésus en sauver nos âmes par la rencontre avec Son amour avant "le rapprochement des derniers jours du monde". Soeur Josefa écrit avec une grande réticence sur le sujet de l'enfer. Elle l'a seulement fait pour conformer les désirs bénis de Notre Seigneur.

Notre Dame l'a dit le 25 octobre de 1922 :

 "Tout ce que Jésus te donne à voir et souffrir des tourments de l'enfer est pour que tu puisses les faire connaître au monde. Par conséquent, oublie-toi complètement de toi même, et pense à la gloire du salut des âmes."

Jésus a tenu à le donner à Josefa pour lui montrer, à l'entrée de la grande épreuve, qu'Il est bien là, toujours le Même.

Visite de l'Enfer

" Dans la nuit du mercredi au jeudi 16 mars, vers dix heures - écrit-elle - je commençai à entendre, comme les jours derniers, un bruit confus de cris et de chaînes. Je me levai, je m'habillai et, tremblante de peur, je me mis à genoux près de mon lit. Le bruit se rapprochait. Je sortis du dortoir, ne sachant que faire, j'allai à la cellule de notre bienheureuse Mère, puis je revins au dortoir. 

Le même bruit terrible m'environnait toujoursTout à coup, je vis le démon en face de moi, il criait : "Attachez-lui les pieds... liez-lui les mains...."
"Instantanément, je ne vis plus où j'étais, je sentis qu'on me liait étroitement et que l'on m'entraînait. D'autres voix rugissaient :
"Ce ne sont pas les pieds qu'il faut lui attacher, c'est le cœur! "
"Et le démon répondait :"Il n'est pas à moi! "

" Alors, on me tira à travers un long chemin plongé dans l'obscurité. Je commençai à entendre de toutes parts des cris horribles. Dans les parois de cet étroit corridor, les unes en face des autres, il y avait comme des niches d'où sortait de la fumée presque sans flamme, et dont l'odeur était intolérable. 

De là, des voix proféraient toutes sortes de blasphèmes et des paroles impures. Les unes maudissaient leur corps, les autres leurs parents. D'autres se reprochaient de n'avoir pas profité de l'occasion ou de la lumière pour abandonner le mal. Enfin, c'était une confusion de cris pleins de rage et de désespoir.

" ... Je fus tirée à travers cette sorte de corridor qui n'avait pas de fin. Puis, on me donna un coup violent qui m'enfonça, pliée en deux, dans une de ces niches. Je me sentis comme pressée entre des planches incendiées et transpercée de part en part d'aiguilles brûlantes. En face de moi, à côté de moi, des âmes me maudissaient et blasphémaient. C'est ce qui me fit souffrir le plus.... Mais ce qui ne peut avoir de comparaison avec aucun tourment, c'est l'angoisse de l'âme de se voir séparée de Dieu....

" Il me semble que j'ai passé de longues années dans cet enfer - poursuivent les notes - et cependant cela n'a duré que six ou sept heures.... Tout à coup, on me retira violemment et je me trouvai dans un lieu obscur où le démon, après m'avoir frappée, disparut et me laissa libre.... Je ne puis dire ce que je sentis dans mon âme, quand je me rendis compte que j'étais vivante et que je pouvais encore aimer Dieu!

" ... Pour éviter cet enfer et bien que j'aie si peur de souffrir, je ne sais ce que je suis prête à endurerJe vois clairement que toutes les souffrances du monde ne sont rien en comparaison de la douleur de ne pouvoir plus aimer, car là on ne respire que haine et soif de la perte des âmes!..."

Dès lors, Josefa connaît fréquemment cette douleur mystérieuse.

Tout est mystère, en effet, dans ces longues séances

de l'Au-delà ténébreux.

Elle les pressent chaque fois par ces bruits de chaînes et ces cris lointains qui se rapprochent, l'environnent et l'accablent. Elle essaie de fuir, de se distraire, de travailler pour échapper à cette ruée diabolique qui finit cependant par la terrasser. 

Elle a juste le temps de se réfugier dans sa petite cellule, mais bientôt, elle n'a plus conscience de ce qui l'entoure. Elle se trouve d'abord dans ce qu'elle appelle "un lieu obscur ",en face du démon qui semble croire qu'elle est en son pouvoir pour toujours.

Il ordonne avec violence qu'on la jette en son lieu et Josefa, liée étroitement, tombe dans ce chaos de feu et de douleurs, de rage et de haine.

Elle note tout cela simplement et objectivement, tel qu'elle le voit, l'entend, l'expérimente.


À l'extérieur, un léger tressaillement à seul annoncé ce départ mystérieux. À l'instant même, son corps est devenu entièrement souple et sans consistance, comme celui dont la vie a disparu depuis quelques minutes à peine. Sa tête, ses membres, ne se soutiennent plus, son cœur bat cependant normalement: Josefa vit comme sans vivre.

Cet état se prolonge plus ou moins,

selon la volonté de Dieu qui la livre ainsi à l'enfer

mais la garde dans sa Main très sûre. 

À l'instant fixé par Lui, un nouveau et très imperceptible tressaillement, et son corps abandonné retrouve la vie.

 Elle n'est cependant pas délivrée de la puissance du démon dans ce lieu sombre où il l'accable de menaces.

Quand il l'abandonne enfin et qu'elle revient lentement à elle, les heures passées en enfer lui ont paru des siècles. Elle ne reprend contact que peu à peu avec les lieux et les personnes qui l'entourent. " Où suis-je?... qui êtes-vous? est-ce que je vis encore ? ... " - demande-t-elle. - Ses pauvres Yeux cherchent à retrouver le cadre d'une vie qui lui semble si loin dans le passé parfois, de grosses larmes coulent silencieusement, tandis que sa physionomie porte l'empreinte d'une douleur que rien ne peut traduire. Elle achève enfin de retrouver le sens de l'actuel et comment exprimer l'émotion intense qui la saisit quand elle réalise soudain qu'elle peut encore aimer!

Elle l'a écrit plusieurs fois en des termes dont la simple ardeur ne peut être interprétée ;

" Dimanche 19 mars 1922, troisième dimanche du Carême. - Je suis encore descendue dans cet abîme, il me semble que j'y demeure de longues années. J'ai beaucoup souffert, mais le plus grand des tourments est de me croire, pour toujours, incapable d'aimer Notre-Seigneur. Aussi, quand je reviens à la vie, je suis folle de joie.

Je crois que je L'aime plus que jamais et que, pour le Lui prouver,

je suis prête à souffrir tout ce qu'Il voudra.

Il me semble surtout que j'estime et que j'aime ma vocation à la folie."

Elle ajoute quelques lignes plus loin :


" Ce que je vois me donne un grand courage pour souffrir.

Je comprends le prix des moindres sacrifices:

Jésus les recueille et s'en sert pour sauver des âmes.

C'est un grand aveuglement d'éviter la souffrance, même en de très petites choses, car non seulement elle est d'un grand prix pour nous, mais elle sert à préserver beaucoup d'âmes de si grands tourments. "

Josefa a essayé par obéissance de tracer quelque chose de ces descentes qui se renouvellent fréquemment à cette époque.

Tout ne pourrait être traduit. Mais quelques pages encore serviront d'enseignement précieux. Elles stimuleront les âmes à se dévouer et à se sacrifier pour le salut de celles qui, chaque jour et à chaque heure, sur le bord de l'abîme, sont l'enjeu d'une lutte tragique entre l'Amour et la haine, le désespoir et la Miséricorde.

Quand j'arrive en ce lieu - écrit-elle le dimanche 26 mars - j'entends des cris de rage et de joie infernale parce qu'une âme de plus est plongée dans ces tourments ! ...

" Je n'ai plus conscience à ce moment d'être déjà descendue dans l'enfer; il me semble toujours que c'est la première fois. Il me semble aussi y être pour l'éternité et c'est ce qui me fait tant souffrir, car je me rappelle que je connaissais et que j'aimais Notre-Seigneur... que j'étais religieuse, qu'Il m'avait fait de grandes grâces et donné de nombreux moyens pour me sauver. Qu'ai-je donc fait pour perdre tant de biens?... Comment ai-je été si aveugle?... 

Et maintenant, il n'y a plus de remède ! ... Je me souviens aussi de mes communions, de mon Noviciat. Mais ce qui me tourmente le plus, c'est que j'aimais tant le Coeur de Jésus!

Je Le connaissais et Il était tout mon Trésor.... Je ne vivais que pour Lui ! ... Comment vivre maintenant sans Lui?... sans L'aimer?... enveloppée de ces blasphèmes et de cette haine?

" Mon âme est oppressée et brisée à un point que je ne peux pas expliquer, car c'est indicible.... "

Souvent aussi, elle assiste aux efforts acharnés du démon et de ses satellites pour arracher à la Miséricorde des âmes dont il est sur le point de faire sa proie. Ses souffrances semblent bien être alors, dans les Plans de Dieu, la rançon de ces pauvres âmes qui lui devront la grâce victorieuse du dernier instant.

" Le démon - écrit-elle le jeudi 30 mars - est plus furieux que jamais, car il veut perdre trois âmes. Il criait avec fureur aux autres :

" - Qu'elles ne s'échappent pas... elles s'en vont... allez, allez ferme! "

" Et j'entendais des cris de rage qui lui répondaient de loin."

Deux ou trois jours de suite, elle est témoin de cette lutte.


" Je suppliai Notre-Seigneur de faire de moi tout ce qu'Il voudra, pourvu que ces âmes ne se perdent pas - écrit-elle en revenant de l'abîme, le samedi 1er avril. - Je me tournai aussi vers la Sainte Vierge et Elle me donna une grande paix, car Elle me laissa décidée à souffrir n'importe quoi pour les sauver. Je crois qu'Elle ne permettra pas que le démon ait la victoire. "

Le dimanche 2 avril, dimanche de la Passion, elle écrit de nouveau :

" Le démon criait : Ne les lâchez pas! Soyez attentifs à tout ce qui peut les troubler... qu'elles ne s'échappent pas ! ... obtenez qu'elles se désespèrent ! ... "

" C'était une confusion de cris et de blasphèmes. Tout à coup, jetant un hurlement de rage, il cria : " Peu importe! il m'en reste encore deux. Enlevez-leur la confiance! "

" Je compris que l'une de ces âmes venait de lui échapper pour toujours." Vite, vite... - rugissait-il - que ces deux-là n'échappent pas ! Saisissez-les, qu'elles se désespèrent ! ... Vite... elles s'en vont! "

" Alors, il se fit dans l'enfer comme un grincement de dents et, dans une fureur indescriptible, le démon rugit :

" - Oh ! Puissance ! ... Puissance de ce Dieu ! ... qui a plus de force que moi!... Une me reste encore... et celle-là je ne Le laisserai pas s'en emparer. "


L'enfer ne fut plus qu'un cri de blasphème dans un désordre de plaintes et de gémissements. Je compris alors que ces âmes étaient sauvées. Mon cœur fut rempli de joie, quoique dans l'impossibilité de faire un seul acte d'amour, malgré son besoin d'aimer.... Cependant, je ne sens pas cette haine de Notre- Seigneur qu'ont ces malheureuses âmes qui m'entourent, et quand je les entends maudire et blasphémer, c'est une douleur telle, que je souffrirais je ne sais quoi pour qu'Il ne soit plus ainsi outragé et offensé. Ce dont j'ai peur, c'est qu'avec le temps, je ne devienne comme les autres. C'est ce qui me fait tant souffrir, car je me rappelle toujours combien je L'aimais et comme Il était bon pour moi!

" J'ai beaucoup souffert - continue-t-elle - surtout ces derniers jours.

C'est comme si un ruisseau de feu passait par ma gorge et traversait tout mon corps, en même temps qu'il se trouve enserré entre des planches de feu, comme je l'ai déjà dit, je ne peux pas exprimer cette douleur, elle est extrême! Il semble que les yeux sortent de leur orbite comme s'ils en étaient arrachés, les nerfs sont tirés, le corps plié en deux ne peut se mouvoir, une odeur infecte envahit tout (1) ....

Et cependant, tout cela n'est rien en comparaison de l'âme qui connaît la Bonté de Dieu et se voit obligée de Le haïr, souffrance encore bien plus grande si elle L'a beaucoup aimé! "

D'autres mystères de l'Au-delà vont encore se révéler à Josefa.

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j'ai été dans les gouffres de l'enfer, pour en parler aux âmes

et témoigner que l'enfer existe

Vision de l’Enfer donnée à Sainte Faustine, le 20 octobre 1936 - Extrait du Petit Journal, n°741

« Aujourd'hui j'ai été dans les gouffres de l'enfer, introduite par un ange. C'est un lieu de grands supplices, et son étendue est terriblement grande.

Genres de supplices que j'ai vus :

  • le premier supplice qui fait l'enfer c'est la perte de Dieu ;

  • le deuxième - les perpétuels remords ;

  • le troisième - le sort des damnés ne changera jamais ;

  • le quatrième supplice - c'est le feu qui va pénétrer l'âme sans la détruire, c'est un terrible supplice, car c'est un feu purement spirituel, allumé par la colère de Dieu ;

  • le cinquième supplice - ce sont les ténèbres continuelles, une terrible odeur étouffante et malgré les ténèbres, les démons et les âmes damnées se voient mutuellement et voient tout le mal des autres et le leur ;

  • le sixième supplice - c'est la continuelle compagnie de Satan ;

  • le septième supplice - le désespoir terriblela haine de Dieu, les malédictions, les blasphèmes.

Ce sont des supplices que tous les damnés souffrent ensemble, mais ce n'est pas la fin des supplices. Il y a des supplices qui sont destinés aux âmes en particulier, ce sont les souffrances des sens. Chaque âme est tourmentée d'une façon terrible et indescriptible par ce en quoi ont consisté ses péchés. Il y a de terribles cachots, des gouffres de tortures où chaque supplice diffère de l'autre ; je serais morte à la vue de ces terribles souffrances, si la toute-puissance de Dieu ne m'avait soutenue.

Que chaque pécheur sache : il sera torturé durant toute l'éternité par les sens qu'il a employés pour pécher.

J'écris cela sur l'ordre de Dieu pour qu'aucune âme ne puisse s'excuser

disant qu'il n'y a pas d'enfer, ou que personne n'y a été et ne sait comment c'est

Moi, Sœur Faustine, par ordre de Dieu,

j'ai été dans les gouffres de l'enfer, pour en parler aux âmes et témoigner que l'enfer existe.

Je ne peux en parler maintenant [en 1936], j'ai l'ordre de Dieu de le laisser par écrit.

Les démons ressentaient une grande haine envers moi, mais l'ordre de Dieu les obligeait à m'obéir.

Ce que j'ai écrit est un faible reflet des choses que j'ai vues. 

J'ai remarqué une chose : qu'il y a là-bas beaucoup d'âmes qui doutaient que l'enfer existe.

Quand je suis revenue à moi, je ne pouvais pas apaiser ma terreur de ce que les âmes y souffrent si terriblement, c'est pourquoi je prie encore plus ardemment pour la conversion des pécheurs, sans cesse j'appelle la miséricorde divine sur eux.

Ô mon Jésus, je préfère agoniser jusqu'à la fin du monde dans les plus grands supplices que de T'offenser par le moindre péché. »

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Certains vont jusqu’à enseigner que l’enfer n’existe pas

Enseignement de Jésus à Joseph X - transmis par le Père Melvin Doucette (Canada) - 

Mardi 24 novembre 2009

« Aujourd’hui, mes frères et mes sœurs, beaucoup répandent des erreurs plutôt que la vérité que je vous ai apportée lorsque j’étais sur la terre. Beaucoup n’enseignent pas les commandements de mon Père, mais prétendent que tous seront sauvés, qu’ils suivent ou non les commandements. 

Certains vont jusqu’à enseigner que l’enfer n’existe pas, bien que j’en aie souvent parlé lorsque j’étais sur la terre.

C’est le lieu destiné au démon et à tous les esprits mauvais, ainsi qu’à tous ceux qui ont refusé de croire en moi et de se repentir de leurs fautes.

« Mes chers amis, n’écoutez pas ceux qui n’enseignent pas la vérité

mais adhérez totalement aux enseignements définis par mon Église. 

Tenez ferme dans la foi et croyez tout ce que l’Église vous apprend,

en particulier en ce qui regarde ma seconde venue,

la puissance des sacrements, l’importance de la prière,

la fidélité à l’Eucharistie du dimanche

et la réception régulière de la sainte Communion.

N’oubliez jamais le sacrement de ma miséricorde, qui est le Sacrement de la Réconciliation.

Observez tous les commandements et aimez-vous les uns les autres. Vous serez bénis. »

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SUITE !!




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