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DONNEES OBJECTIVES MONDIALES !! SPECULATIONS SUR LES MATIERES PREMIERES ?? CRISE ECONOMIQUE MONDIALE ORGANISEE ??

 

http://www.web-agri.fr/observatoire_marches/article/fort-rebond-apres-la-publication-du-rapport-de-l-usda-1929-79223.html

Cours des matières premières agricoles - Fort rebond après la publication du rapport de l'Usda

( Publié le 03/04/2012 à 07h53 )
La baisse des stocks de maïs et des prévisions de surfaces cultivées en blé en soja aux Etats-unis, révélées par le dernier rapport de l'Usda, ont fait rebondir les cours des matières premières agricoles à Chicago en fin de semaine dernière.

L'Usda s'attend à une baisse des surfaces cultivées en blé aux Etats-Unis
La baisse des surfaces cultivées en blé aux Etats-Unis risque de créer des tensions sur les marchés. (© DR)

Les prix des matières premières agricolesont rebondi, vendredi, suite à la parution du rapport trimestriel de l'Usda.

Si la hausse des prévisions de surfaces de maïs US se confirme, avec 38,8 Mha prévus (+4 %, par rapport à 2011), cette progression avait déjà été largement anticipée par les opérateurs et les stocks trimestriels US se révèlent très faibles (-8 %, par rapport à l'an dernier).

L'annonce de plus faibles prévisions de surfaces de blé et de soja et de stocks en forte baisse a également largement contribué au rebond, en raison de la tension que cela va générer au niveau de ces marchés. Les surfaces de blé US sont estimées à 22,6 Mha, mais surtout, le stock affiche une baisse de 16 %, par rapport à 2011.

Pour le soja, les surfaces ont été revues à 29,9 Mha, ce qui représente un recul de 1 % par rapport à l'an dernier (et -5 %, par rapport à 2010). Une baisse liée notamment aux pertes sud-américaines.

 

Des marchés plus hésitants - 24/04/2012



Les marchés céréaliers se montrent plus hésitants, en ce début de semaine 17. Les pluies sur l'Europe ont tendance à détendre la situation, les opérateurs se montrant moins inquiets sur l'état de déficit hydrique des sols et, par conséquent, sur les rendements des futures récoltes. De même, aux États-Unis, les conditions de cultures sont bonnes et les semis avancent rapidement (28 % en maïs, contre 15 % en moyenne quinquennale). Or, parallèlement, la demande semble marquer le pas, autant à l'export que du côté des Fabs, les acheteurs ayant, à priori, bien avancé dans leurs couvertures, ces derniers jours. Le marché des oléagineux reste pour sa part très ferme, dans le sillage du pétrole et du soja US qui fait l'objet d'une très bonne demande, notamment de la part de la Chine. Les cours du colza demeurent également soutenus par l'inquiétude persistante concernant le potentiel de production sur la prochaine campagne. 

Gros bovins de viande : Genisses 20/04/2012
 
Malgré une consommation qui continue de se dégrader face à l'incertitude de la période préélectorale et à des tarifs des produits carnés qui ont globalement progressé sur un an, la réduction de l'offre favorise les échanges en faveur des éleveurs. La période de soudure entre les sorties d'étables e...

 

 

Gros bovins d'embouche 20/04/2012
 
Les conditions climatiques sont plus favorables à la pousse de l'herbe même si les températures reste très fraîches le matin, et la tendance qui demeure assez ferme dans le secteur de la viande, contribuent à maintenir une très bonne activité commerciale. L'écoulement est fluide avec une bonne tenu...

 

 

 
Broutards et laitonnes 20/04/2012
 
L'activité commerciale reste assez régulière face à des sorties moins abondantes au début de la période d'herbage. Depuis le début de la semaine, des signes de redémarrage des exportations vers la Turquie sont perceptibles sur les marchés du Centre. L'activité commerciale est plus ferme pour les bo...

 

Veaux de 8 jours : Engraissement 20/04/2012
 
Les difficultés d'écoulement dans le domaine de la viande de veau entraînent des retards d'enlèvements et une réduction du nombre de place disponible pour rentrer des petits veaux. Face à des volumes de veaux suffisants sur le marché Européen, les intégrateurs réduisent leurs achats et impriment un...

 Aux Etats-Unis (25/04/2012 09:37)
Un cas de vache folle découvert en Californie
Cours des matières premières agricoles (24/04/2012 09:07)
Inquiétudes persistantes sur le niveau des stocks
Marchés laitiers (23/04/2012 11:58)
Dominique Chargé (Fncl) : « Les coopératives doivent développer leurs outils de transformation pour conquérir de nouveaux marchés »
Marché du porc breton (19/04/2012 16:10)
Une offre et une demande équilibrée
Momagri (17/04/2012 14:09)
Dans l’Union européenne comme aux Etats-Unis, une autre politique agricole est possible
Contractualisation laitière (17/04/2012 11:22)
Lactalis signe une convention avec ses producteurs de lait
Cours des matières premières agricoles (17/04/2012 09:12)
Baisse généralisée
Marché du porc breton (12/04/2012 16:20)
De bonnes perspectives
Commerce extérieur (12/04/2012 09:20)
Les exportations de produits laitiers augmentent de 45 millions d’euros en février 2012
Aux Etats-Unis (10/04/2012 09:21)
Le maïs américain sur la touche 

Aux Etats-Unis - Un cas de vache folle découvert en Californie

( Publié le 25/04/2012 à 09h37 )
Le ministère américain de l'Agriculture a annoncé mardi avoir détecté un cas de maladie de la vache folle en Californie.
A la suite de la détection de ce nouveau cas de vache folle, la plus grosse peur des agriculteurs du pays serait à présent la mise en place de sanctions contre le boeuf américain.

Le ministère de l'Agriculture américain reste confiant dans les mécanismes de prévention de l'Esb du pays
Pour le ministère de l'Agriculture des Etats-Unis, à aucun moment la vache touchée par l'Esb n'a présenté un danger pour
la chaîne alimentaire ou la santé publique. (© Terre-net Média)

Le ministère de l'Agriculture « a confirmé le quatrième cas dans le pays d'encéphalopathie spongiforme bovine (Esb) sur une vache laitière du centre de la Californie », indique un communiqué. Selon les autorités américaines, l'animal n'est pas utilisé pour faire de la viande. « A aucun moment (la vache) n'a présenté un danger pour la chaîne alimentaire ou la santé publique ». « L'Esb ne se transmet pas par le lait», souligne le ministère.

« Nos mécanismes pour prévenir l'Esb fonctionnent »

« Nos mécanismes pour prévenir l'Esb fonctionnent ». Le ministère de l'Agriculture « a confiance dans la santé du bétail américain et dans le fait que la viande et les produits laitiers ne représentent aucun danger ».

Selon les données officielles, l'exportation de viande de boeuf américaine représente 353 millions de dollars par an, avec le Mexique, le Canada, la Corée du Sud et le Japon comme principaux marchés d'exportation. Les Etats-Unis estiment disposer de 90,8 millions de têtes de bétail, qui constituent une part capitale de l'activité économique de certains Etats comme le Texas (sud), le Nebraska et le Kansas (centre), ou encore la Californie (ouest).

« Cette détection ne va pas affecter le commerce des Etats-Unis »

A lire également :

Santé / Distribution - Deux enseignes alimentaires retirent le boeuf américain en Corée du Sud

Vache folle aux Etats-Unis - L'UE n'envisage pas de restrictions

A la suite de la détection de ce nouveau cas de vache folle, la plus grosse peur des agriculteurs du pays serait à présent la mise en place de sanctions contre le boeuf américain, une éventualité que le ministère de l'Agriculture a implicitement évoquée en la réfutant. « Cette détection ne va pas affecter le commerce des Etats-Unis», ont ainsi déclaré des responsables.

Quelques 40.000 bovins américains sont testés chaque année par le ministère de l'Agriculture. Des échantillons de la vache incriminée ont été envoyés à un laboratoire de l'Iowa(centre) et se sont avérés positifs. Les résultats ont ensuite été envoyés à des laboratoires en Grande-Bretagne et au Canada.

La maladie de Creutzfeldt-Jakob (Mcj), variante humaine de la vache folle, serait responsable de plus de 200 décès à travers le monde, principalement en Grande-Bretagne. Selon les scientifiques, l'épidémie se serait répandue par le biais de farines animales, destinées à l'alimentation du bétail, produites à partir d'animaux infectés.

Cours des matières premières agricoles - Inquiétudes persistantes sur le niveau des stocks

( Publié le 24/04/2012 à 09h07 )
Les inquiétudes perdurent sur les marchés en raison de fondamentaux de plus en plus tendus. La tension s'accentue sur le blé européen et le maïs américain.

En Europe, la production de blé sera plus faible que prévu avec des dégats occasionnés par le froid en février
En Europe, la production de blé sera plus faible que prévu avec des dégats occasionnés par le froid en février.
(© DR)

L'inquiétude perdure sur les marchés des graines, en raison de fondamentaux de plus en plus tendus. La tension est à son comble sur les oléagineux, dont les prix se maintiennent à des plus hauts, en soja comme en colza et en tournesol.

De même, la tension s'accentue sur le blé européen et le maïs américain sur la campagne en cours. Les stocks s'annoncent au plus bas, tandis que la demande reste bien présente. Les ventes européennes à l'export de blé restent d'un bon niveau et aux États-Unis, les achats massifs chinois ont tendance à soutenir le marché du maïs.

Pour la prochaine campagne, les perspectives s'annoncent cependant plus disparate : la production US de maïs s'annonce importante, ce qui devrait permettre, à terme, de détendre la situation.

En revanche, en Europe, la production de blé sera plus faible que prévu, avec les dégâts occasionnés par le froid en février. 

 

Momagri - Dans l’Union européenne comme aux Etats-Unis, une autre politique agricole est possible

( Publié le 17/04/2012 à 14h09 )
Au début du mois de mars dernier, la National Farmers Union (Nfu), le deuxième syndicat agricole américain, a proposé un projet de Farm Bill alternatif dans le cadre de sa réforme actuellement en cours. Celui-ci présente plusieurs aspects particulièrement intéressants.


La mise en place d'un système de stockage permettrait de
stabiliser les prix agricoles. (© DR)

La Nfu propose en effet la mise en place d’un système de stockage en accord avec les conditions de marché (Market-Driven Inventory System ou Mdis), permettant de stabiliser les prix agricoleset les revenus des farmers, tout en réduisant considérablement les dépenses budgétaires de l’Etat fédéral.

Comme nous l’avions déjà mentionné dans un précédent article, les simulations menées par l’Agricultural Policy Analysis Center, qui a travaillé avec la Nfu sur le Mdis, ont montré que si un tel système avait été en vigueur entre 1998 et 2010, près des deux tiers du budget fédéral alloué au soutien des grandes cultures auraient pu être économisés sur cette période, et 46 % entre 2006 et 2010. Les revenus des farmers auraient été sensiblement les mêmes, sans connaître des turbulences aussi fortes que celles auxquelles ils ont été exposé. Les estimations effectuées pour les 10 prochaines années (2012-2021) prévoient des économies de 60 %.

Cette initiative présente de nombreuses similarités avec la proposition de momagri « Une autre Pac est possible ». 

 

Cours des matières premières agricoles - Baisse généralisée

( Publié le 17/04/2012 à 09h12 )
Les marchés agricoles ont clôturé la semaine 15 en baisse, sous la pression d'un contexte économique de plus en plus morose.
L'Algérie a acheté 200.000 t de blé.
Les stocks de grains sont de plus en plus réduits en Europe. (© Terre-net Média)
Outre la déception affichée des opérateurs face à la publication des chiffres de la croissance chinoise au premier semestre (8,1 %), c'est surtout la situation concernant la dette souveraine en Europequi reste au coeur des préoccupations des investisseurs.

Ces craintes ont gagné les marchés agricoles, entrainant à la baisse les prix de la plupart des graines, reléguant ainsi au second plan l'actualité propre des céréales et des oléagineux. Pourtant, les stocks de graines sont de plus en plus réduits en France et en Europe, face à une demande qui reste bien présente, notamment sur la scène internationale à l'image de l'achat de 200.000 t de blé par l'Algérie la semaine dernière. 

Commerce extérieur - Les exportations de produits laitiers augmentent de 45 millions d’euros en février 2012

( Publié le 12/04/2012 à 09h20 )
En février dernier, les ventes de bovins viande ont porté sur 109 millions d’euros.

Les exportations françaises de produits laitiers augmentent de 45 millions d'euros en février 2012
Les exportations françaises de produits laitiers augmentent de 45 millions d'euros en février 2012, selon le ministère
de l'Agriculture. (© Terre-net Média)

Selon une étude du service de la statistique et de la prospective du ministère de l’Agriculture, les exportations de produits laitiersaugmentent de 45 millions d’euros (fromages, lait en poudre, lactosérum) en février 2012 par rapport à leur niveau un an auparavant. Elles ont atteint 568 millions d’euros.

Une hausse des importations de produits animaux de 35 millions d’euros


Ssp Ministère de l'Agriculture (© Terre-net Média)
Les exportations de bovins viandeont porté ce même mois sur 109 millions d’euros contre 102 millions un an plus tôt. Par contre, les ventes de viandes bovines (80 millions d’euros) diminuent de 19 % du fait de l’arrêt des envois vers la Turquie. Toutes destinations confondues, l’excédent commercial est de -17 millions d’euros.

Le mois de février se caractérise par une hausse des importations de produits animaux de 35 millions d’euros environ, après plus de 40 millions en janvier. Les échanges commerciaux de viande de porcs et de volailles (142 millions au total) sont justes équilibrés.

862 M€ d'excédent

Tous produits confondus, l’excédent des échanges agroalimentaires français atteint 862 millions d’euros en février 2012, en baisse de 67 millions d’euros par rapport à février 2011. Les exportations diminuent de 56 millions d‘euros tandis que les importations augmentent de 11 millions. Avec les pays tiers, l’excédent est de 345 millions d’euros, en hausse de 33 millions par rapport à février 2011. Avec l’Union européenne, l’excédent (517 millions d’euros) diminue de 100 millions par rapport à février 2011. 

 

Aux Etats-Unis - Le maïs américain sur la touche

( Publié le 10/04/2012 à 09h21 )
Le soja pourrait être préféré au maïs aux Etats-Unis sur les 92 millions d’hectares à implanter. La Chine, importatrice de ce grain laisse les marchés dans le doute, ne donnant aucune information sur les besoins alimentaires de ses filières animales.

Les stocks de maïs grains resteront tendus dans les prochains mois.
Les stocks de maïs grains resteront tendus dans
les prochains mois. (© Terre-net Média)

Aux Etats-Unis, il y a quelques semaines encore, tout portait à croire que la culture de maïs allait remporter la palme compte tenu du niveau de la demande mondiale et de la destruction d'une partie des cultures de céréales à paille à l’automne et à l’hiver derniers en Europe.

Or les récoltes décevantes de soja de l’hiver dernier dans l’hémisphère sud et les perspectives de production revues à la baisse pour le colza en Europe, qui portent la tonne de graines à près de 500 €, et celle du soja à des sommets, rendent la culture de ce dernier plus attractive que celle de maïs. Le coefficient « Prix du soja/Prix du maïs », supérieur à 2,4 et atteignant même 2,6, sème des doutes sur les 92 millions d’hectares de maïs qu’il était prévu d’implanter il y a quelques semaines au Etats-Unis. Les marchés pourraient ainsi faire bouger les assolements.

Chine, la grande inconnue

Autre facteur d’inquiétude, la Chine. Les marchés s’attendent à ce que l’Empire du milieu importe le maïs qu’elle ne parvient pas à produire en quantité suffisante pour nourrir ses élevages. Or déjà tendus, l’arrivée de la Chine, même discrète ne pourra que faire davantage augmenter les cours, faute de grains disponibles et par conséquent à se reporter encore sur le blé. 

 

Marchés laitiers - Dominique Chargé (Fncl) : « Les coopératives doivent développer leurs outils de transformation pour conquérir de nouveaux marchés »

( Publié le 23/04/2012 à 11h58 )
Selon la Fncl, qui a tenu, jeudi 19 avril 2012 son assemblée générale annuelle, les pays émergents vont enregistrer une hausse très importante de leur consommation de lait d’ici 2050. Ils constituent ainsi les principaux potentiels de débouchés pour les coopératives laitières françaises. Or, comme l’explique Dominique Chargé, le président de la Fncl, celles-ci accusent un certain retard, par rapport aux autres acteurs européens, dans la modernisation et le développement d’outils de transformation. Explications.

Selon la Fncl, l'essentiel du potentiel de débouchés pour le lait français se situe chez les pays émergents et non dans les pays industrialisés ou dits « intermédiaires » comme la Russie.

Ainsi, entre 2000 et 2050, le niveau de consommation humaine devrait augmenter de 6 % environ dans les pays industrialisés, contre 20 % pour les pays intermédiaires, et surtout 73 % pour les pays émergents. « Ces derniers seront très demandeurs de produits ingrédients (poudre...), alors que la filière laitière française s'est surtout concentrée, ces 30 dernières années, sur la valorisation de produits de grande consommation », explique Dominique Chargé, président de la Fncl.

Pour répondre à la croissance importante de ces marchés des pay émergents, les coopératives française vont devoir investir massivement pour moderniser et développer leurs outils de transformation (tours de séchage, etc.).

 Suite !

 


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